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RFI, le 10/01/2024
Avec notre correspondante à Ankara, Anne Andlauer
La Turquie demande à la France de rapatrier les jihadistes français détenus par les forces kurdes de Syrie, contre lesquelles Ankara menace de mener une offensive militaire. Lors d’une conférence de presse ce vendredi 10 janvier, le chef de la diplomatique turque, Hakan Fidan, a affirmé que la France ne prenait pas en compte la sécurité de son pays, en référence au soutien de Paris aux forces kurdes syriennes. Ankara les accuse d’être liés au PKK, groupe armé kurde classé comme terroriste par la Turquie et les pays occidentaux.
Depuis des années, le soutien des Occidentaux, tout particulièrement des États-Unis et de la France, aux forces kurdes syriennes est perçu par la Turquie comme une trahison. Ou du moins comme le signe que ses alliés ne s’intéressent pas à sa sécurité en confiant la détention des jihadistes étrangers aux Forces démocratiques syriennes (FDS) dominées par les combattants kurdes. Le ministre turc accuse la France de ne mettre en avant que ses propres intérêts : « Ils ont une telle politique qu’ils n’amènent pas les prisonniers » du groupe jihadiste « État islamique dans leur propre pays. Mais ils ne se soucient pas de notre sécurité. […] Ils mettent toujours en avant leurs propres revendications », a affirmé Hakan Fidan.
Le fait que ces forces kurdes, les YPG, aient combattu contre le groupe État islamique et qu’elles gardent les camps de prisonniers jihadistes n’est qu’un prétexte aux yeux d’Ankara. C’est le sens des propos de son chef de la diplomatie, Hakan Fidan.
Si la France a quelque chose à faire, c’est de prendre ses propres citoyens, de les amener dans ses propres prisons et de les juger dans ses propres tribunaux. Ce n’est pas de les confier aux services pénitentiaires des YPG ou d’une autre organisation terroriste, et de venir ensuite dire qu’ils soutiennent cette organisation.
Depuis le changement de régime à Damas, la Turquie menace chaque jour de lancer une offensive contre les forces kurdes dans le nord de la Syrie. Mais elle semble d’abord privilégier le dialogue avec le nouveau pouvoir syrien pour atteindre son objectif : le désarmement et la dissolution des YPG.
Ankara accuse les YPG, épine dorsale des FDS et considérées par l’Occident comme essentielles dans la lutte contre les jihadistes de l’État islamique, de liens avec le Parti des travailleurs du Kurdistan, interdit en Turquie.
Par ailleurs, Ankara propose d’aider les autorités de Damas à prendre en charge la lutte contre le groupe État islamique et les milliers de jihadistes, ainsi que leurs familles, actuellement détenus par les forces kurdes. « Débarrasser la Syrie de la menace terroriste est notre tâche principale pour 2025 et la Turquie est la plus efficace dans la lutte anti-terroriste », a encore martelé Hakan Fidan.
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