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Courrier International, le 09/07/2024
Après la Hongrie, le constructeur automobile chinois BYD, rival de Tesla, a choisi la Turquie pour s’implanter en Europe. Et épargner ainsi à ses voitures électriques les droits de douane supplémentaires imposés par Bruxelles sur les véhicules importés de Chine, explique la “BBC”.
La Seagull de BYD, exposée lors du Bangkok International Motor Show de Nonthaburi, en Thaïlande, en mars 2024. PHOTO LILLIAN SUWANRUMPHA/AFP
C’est un accord à 1 milliard de dollars (plus de 920 millions d’euros) que le chinois BYD vient de conclure en Turquie. Il s’agit de construire dans le pays une usine capable de produire quelque 150 000 voitures électriques par an. La nouvelle usine, qui devrait créer 5 000 emplois, sera opérationnelle avant la fin de 2026. L’accord a été signé le 8 juillet à Istanbul en présence du président turc, Recep Tayyip Erdogan, et du directeur général de BYD, Wang Chuanfu.
“Cette annonce intervient alors que les constructeurs chinois sont confrontés à une pression croissante en Europe et aux États-Unis”, souligne la BBC, qui rappelle les mesures prises par l’Union européenne pour relever les droits de douane sur les véhicules électriques importés de Chine. “Une décision qui impose à BYD une taxe supplémentaire sur les véhicules expédiés depuis la Chine, qui s’ajoute à des droits d’importation de 10 %.”
Bruxelles tente en effet d’endiguer le flot de véhicules électriques bon marché chinois “pour protéger l’industrie automobile européenne” d’une concurrence estimée déloyale. Les surtaxes, entrées en vigueur vendredi 5 juillet, sont comprises entre 17 et 38 % selon le niveau des subventions obtenues par les fabricants chinois ou les constructeurs européens qui ont délocalisé leur production en Chine.
En vertu de l’union douanière en vigueur entre la Turquie et l’Union européenne, les véhicules qui seront fabriqués dans le pays par BYD avant d’être exportés vers les pays européens devraient échapper à ces droits de douane supplémentaires. BYD avait déjà annoncé la construction d’une première usine en Europe, à Szeged, en Hongrie, où le géant chinois aurait même l’intention d’en implanter prochainement une deuxième.
En Turquie, l’usine BYD sera “la première appartenant à un constructeur étranger”, relève Nikkei Asia, même si “de nombreuses marques mondiales comme Toyota, Ford, Renault, Hyundai” y ont trouvé une base de production et d’exportation. Quelque 65 000 véhicules électriques ont été vendus dans le pays l’an dernier, soit “7 % des ventes totales de véhicules de tourisme”. En septembre dernier, le président Erdogan avait d’ailleurs demandé à Elon Musk de construire une usine Tesla en Turquie.
Ankara “a tenté de protéger Togg”, son constructeur national, “de la concurrence étrangère et en particulier des marques chinoises”, poursuit le média économique japonais. En mars, le pays avait imposé 40 % de droits de douane supplémentaires sur les véhicules électriques fabriqués en Chine. Ce qui avait “fait chuter les ventes” et poussé les marques “à exporter des modèles hybrides ou à essence en Turquie”. En réaction, le gouvernement a élargi la taxe à l’ensemble des véhicules importés de Chine, pour “augmenter la part de la production locale”, a-t-il justifié.
“Cette politique ferme semble avoir porté ses fruits”, constate le Nikkei Asia. Grâce à cette nouvelle usine, BYD sera exempté de la taxe turque et bénéficiera donc de l’union douanière entre la Turquie et l’UE. Cette “soupape de sécurité” lui évitera non seulement de payer la surtaxe imposée par l’UE, mais aussi de trouver un peu d’air alors que les États-Unis ont “déjà multiplié par quatre les droits de douane sur les véhicules électriques fabriqués en Chine pour les porter à plus de 100 %”.
Courrier international
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