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El Watan, le 21/12/2015
Fort de la victoire de son parti, le Parti de la justice et du développement (AKP), aux élections législatives du 1er novembre, le président turc, Recep Tayyip Erdogan, se concentre sur la guerre contre le Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK). Au cours des cinq derniers jours d’une opération militaire menée conjointement par l’armée et les forces spéciales de la police, dans le sud-est de la Turquie à dominante kurde, 102 militants kurdes présumés du PKK ont trouvé la mort, selon l’AFP citant un nouveau bilan publié hier par une source de sécurité locale.
L’opération se poursuit. Elle a mobilisé 10 000 hommes appuyés par des chars pour déloger les militants kurdes des centres urbains. L’offensive se concentre ainsi sur deux villes proches des frontières syrienne et irakienne, Cizre et Silopi, deux localités de la province de Sirnak qui sont sous couvre-feu depuis des jours. «Les opérations dans la région (…) se poursuivront avec détermination jusqu’à ce que l’ordre public soit rétabli», a déclaré l’armée dans un communiqué.
Par ailleurs, l’armée turque a indiqué samedi que des avions de combat avaient décollé vendredi de la base de Diyarbakir, la «capitale» du Sud-Est anatolien, pour bombarder des camps du PKK dans le nord de l’Irak. De son côté, le Premier ministre, Ahmet Davutoglu, a dénoncé, hier à Ankara, une «tentative de déclencher une guerre civile» et prévenu que les opérations allaient continuer. «Nous sommes face à une organisation barbare qui essaie d’instrumentaliser les jeunes afin de porter atteinte à la vie des gens en installant ces barricades», a-t-il déclaré.
À chacun ses priorités
Après plus de deux ans de cessez-le-feu, les combats ont repris l’été dernier entre Ankara et le PKK, sabordant en conséquence les pourparlers de paix engagés en 2012 pour mettre fin au conflit déclenché en 1984. Membre de l’Organisation du traité de l’Atlantique Nord (OTAN), la Turquie est engagée dans la coalition internationale contre le groupe Etat islamique (EI) menée par les Etats-Unis.
Cependant, la priorité pour Ankara consiste en la chute du président syrien Bachar Al Assad et la neutralisation des Kurdes. Mardi dernier, le secrétaire américain à la Défense, Ashton Carter, a appelé Ankara à «faire plus» dans la lutte contre l’EI. «La Turquie a un rôle énorme à jouer (…) et nous apprécions ce qu’ils (les Turcs) font. Nous voulons qu’ils en fassent plus», a déclaré A.
Carter lors d’une visite de la base turque d’Incirlik, au Sud, d’où partent les avions américains qui bombardent les djihadistes. La Turquie a autorisé, en juillet, l’utilisation par des avions de guerre américains de la base aérienne d’Incirlik. Longtemps accusé d’inertie dans le combat contre l’EI, Ankara a rejoint depuis l’été la coalition antidjihadiste.
«Les Turcs nous accueillent sur la base aérienne d’Incirlik, ce qui est une contribution très importante. Mais il y a plus à faire qu’héberger nos forces et celles de la coalition. Nous voulons que les forces turques nous rejoignent dans les airs et au sol», a indiqué le chef du Pentagone. Et d’ajouter : «La contribution la plus nécessaire que leur impose la géographie est le contrôle de leur propre frontière.» Les Etats-Unis insistent depuis quelques semaines auprès d’Ankara pour que la frontière soit fermée sur une centaine de kilomètres au sud de Gaziantep, encore contrôlé côté syrien par l’EI.
Amnay idir
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