Paysage urbain et mélancolie chez Orhan Pamuk
vient de paraître, semptembre 2016
Essai littéraire par Maya Ombasic
Istanbul est pour Pamuk ce que Paris est pour Baudelaire : une source inépuisable d’inspiration et de spleen. Mais en suivant la vie des écrivains étrangers de passage à Istanbul, Pamuk s’aperçoit que cette apparente mélancolie n’est qu’une strate parmi d’autres dans une ville palimpseste qui cache dans ses entrailles toutes les altérités. A travers les lunettes de la déconstruction, l’auteure démontre qu’à partir de la figure du double qui obsède Pamuk, le romancier propose un autre espace-temps quelque part entre la réalité et la fiction, entre l’Est et l’Ouest, entre la tradition et la modernité.
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