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Ouest-France, le 19/03/2024
Alors que la Turquie tente de ménager et l’Ukraine et la Russie, Zelensky plaide auprès d’un sénateur républicain une adoption rapide de l’aide américaine pour l’Ukraine et le chef du Parti de la gauche européenne appelle à « négocier » pour mettre fin à la guerre. Le point sur la nuit du lundi 18 au mardi 19 mars 2024.
Le président turc Recep Tayyip ErdoÄŸan a félicité ce lundi 18 mars au téléphone Vladimir Poutine pour son élection en Russie : c’est l’un des rares pays à avoir conservé un lien avec l’Ukraine et le pays envahisseur.
Pendant ce temps à Kiev, Volodymyr Zelensky tente de convaincre Lindsey Graham, sénateur républicain proche de Trump, de l’importance de débloquer la situation sur l’aide américaine pour l’Ukraine au Congrès, tandis que le chef du Parti de la gauche européenne, déclare qu’« il est temps de négocier » pour arrêter le massacre.
Erdogan « félicite » Poutine
Le président turc Recep Tayyip ErdoÄŸan a « félicité » ce lundi son homologue russe Vladimir Poutine pour sa réélection et offert de nouveau sa médiation avec l’Ukraine, a annoncé la présidence, relayée par l’Agence France-Presse.
Lors d’un appel téléphonique, « le président Erdogan a estimé que l’évolution positive des relations entre la Turquie et la Russie se poursuivrait et a déclaré que la Turquie était prête à jouer un rôle de facilitateur pour (la) faire venir à la table des négociations avec l’Ukraine », a indiqué la présidence turque dans un communiqué.
« Cette guerre doit cesser », a renchéri de son côté le chef de la diplomatie turque Hakan Fidan, interrogé sur la chaîne de télévision privée CNN Türk lundi soir. « Des deux côtés des dizaines de milliers de mères enterrent leurs enfants et ça continue. Les deux parties n’ont que trop à perdre et rien à gagner » a-t-il insisté en disant redouter « un risque de prolifération » du conflit dans la région. Parler de « troupes européennes, de menace nucléaire, tout cela est dangereux ».
« La Turquie est l’un des rares pays au sein de l’Otan à réclamer la paix. Notre président réclame la paix », a-t-il rappelé. Ankara veille à maintenir des relations aussi bien avec Kiev qu’avec Moscou depuis le début de la guerre en Ukraine et a, à plusieurs reprises, offert ses bons offices pour une sortie négociée du conflit entre les deux pays, riverains comme la Turquie de la mer Noire.
Zelensky plaide pour une décision « rapide » du Congrès américain
« Il est d’une importance critique pour nous que le Congrès achève rapidement toutes les procédures nécessaires et prenne une décision » sur l’aide bloquée depuis des mois en raison de tergiversations entre démocrates et républicains, a déclaré ce lundi 18 mars Volodymyr Zelensky lors d’une rencontre à Kiev avec le sénateur Lindsey Graham, selon un communiqué de la présidence ukrainienne.
L’adoption d’une nouvelle enveloppe d’aide pour Kiev comprenant 60 milliards de dollars d’assistance militaire et économique est réclamée depuis des mois par l’administration de Joe Biden. Elle a été approuvée par le Sénat à majorité démocrate, mais reste bloquée au Congrès rappelle l’Agence France-Presse.
Son adoption est suspendue au bon vouloir des partisans de Donald Trump à la Chambre, qui refusent d’examiner en l’état le texte, en raison d’un différend sur la régulation de l’immigration aux États-Unis. Le sénateur Lindsey Graham plaide pour un prêt à taux zéro.
Épuisée par deux ans d’invasion russe, l’Ukraine est à la peine face à l’armée russe, supérieure en nombre de soldats, en quantités d’armement et de munitions. Ces dernières semaines, les troupes russes ont avancé dans plusieurs secteurs du front dans l’est de l’Ukraine.
Pour le Parti de la gauche européenne, « il est temps de négocier »
Le chef de la principale formation de gauche radicale européenne, Walter Baier, a estimé qu’il était « temps de négocier » pour mettre fin à la guerre déclenchée par la Russie contre l’Ukraine, apportant son « soutien total » aux récents propos du pape François.
« Je crois qu’aider le peuple ukrainien signifie faire des efforts pour tenter de mettre fin à la guerre », a déclaré ce communiste autrichien de 70 ans, désigné fin février candidat à la présidence de la Commission européenne par le Parti de la gauche européenne (PGE) dont il est le président.
Il s’exprimait lors d’une interview lundi avec la « European Newsroom », regroupant des agences de presse européennes dont l’Agence France-Presse. Il a précisé que le PGE, qui regroupe 26 partis membres et vient d’adopter son manifeste en prévision des élections au Parlement européen de juin, « condamnait absolument l’agression russe », « une violation du droit international ».
Walter Baier a ensuite rappelé les morts et les destructions causées par deux ans de guerre et ajouté que le front en Ukraine était « gelé ». « Je souhaiterais que l’Union européenne (…) fasse des efforts diplomatiques pour entamer des négociations pour parvenir à un cessez-le-feu et obtenir le retrait des troupes russes », a-t-il poursuivi.
Le Parti de la gauche européenne, qui est opposé à l’expansion de l’Otan et à « la nouvelle course aux armements en Europe », compte parmi ses membres Die Linke en Allemagne, le Parti communiste français ou encore Syriza en Grèce. Dix partis, dont la France insoumise, y ont le statut d’observateurs.
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