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Ouest-France, le 11/12/2018
Alors qu’Emmanuel Macron est empêtré dans la crise des Gilets jaunes, qui fait beaucoup parler en dehors de nos frontières, plusieurs chefs d’État étrangers ont sauté sur l’occasion pour enfoncer un peu plus le président français.
C’est un des effets inattendus de la crise des Gilets jaunes. Alors que le mouvement fait les gros titres des médias du monde entier, qui ont relayé les photos des violences sur les Champs-Élysées, plusieurs chefs d’État et adversaires d’Emmanuel Macron en profitent pour lui donner des leçons de démocratie. Même s’ils ne sont pas toujours les plus recommandables en la matière.
Ainsi, le président turc Recep Tayyip Erdogan a fustigé la « violence disproportionnée » dont ont fait preuve selon lui les forces de l’ordre françaises, ajoutant : « Voyez un peu ce que font les policiers de ceux qui critiquaient nos policiers ! » Le responsable turc, qui est accusé par plusieurs grands journaux européens d’avoir traqué sans relâche et torturé des opposants qu’il accuse d’avoir fomenté le putsch de juillet 2016, a dit suivre « avec préoccupation » la situation en France.
Trump et Poutine se frottent les mains
De son côté, le président russe Vladimir Poutine a appelé « les autorités parisiennes à s’abstenir de tout recours excessif à la force, conformément aux principes de l’humanisme ». Et si certains, en France, accusent les autorités russes de souffler sur les braises en encourageant la colère sur les réseaux sociaux, plusieurs médias de Moscou ont récemment pointé du doigt les services secrets américains, qui seraient selon eux responsables des violences dans les rues de Paris. Leur explication : l’affaiblissement de Macron serait dans l’intérêt de Donald Trump.
Le président américain n’est d’ailleurs pas en reste. Il s’est emparé du mouvement des Gilets jaunes pour mieux critiquer la politique libérale d’Emmanuel Macron et, bien sûr, l’accord de Paris sur le climat, dont il a décidé de retirer les États-Unis. « C’est une journée et une nuit très triste à Paris », a-t-il écrit sur Twitter après les manifestations du 8 décembre, avant d’ajouter : « Il est peut-être temps de mettre fin au ridicule Accord de Paris, qui coûte très cher, et de rendre l’argent au peuple en baissant les taxes ? Les États-Unis ont montré la voie et sont le seul grand pays où les émissions ont baissé l’an dernier ! »
Donald Trump, qui assuré dans un autre message que les contribuables « ne veulent payer de grosses sommes d’argent, qui vont surtout à des pays du tiers-monde (dont la gouvernance est discutable), afin de, peut-être, protéger le climat ». Et il en a profité pour assurer dans ce même tweet que les manifestants à Paris chantaient « Nous voulons Trump », ajoutant qu’il « adorait la France ».
Des allégations fausses, lui a rétorqué le ministre des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian dimanche, expliquant qu’il ne pensait pas que « les Gilets jaunes aient manifesté en anglais » et que le slogan évoqué par le président américain, « We want Trump », « ne faisait pas référence à la marche pour le climat » qui s’est tenu le même jour à Paris, à ironisé le ministre français, demandant à Trump de ne pas se mêler de la politique française.
France et Italie, même combat ?
En Italie, enfin, le ministre de l’Intérieur Matteo Salvini, qu’Emmanuel Macron a déjà désigné comme son principal adversaire pour les élections européennes, a lui aussi profité de l’occasion pour lancer des pics au président français. « La violence n’est jamais justifiée, mais qui sème la pauvreté récolte les manifestations », a-t-il écrit sur Twitter, ajoutant que « Macron n’est pas un problème pour moi ou pour l’Europe, il est un problème pour les Français ».
Salvini a également fait une comparaison avec la situation du Parti démocrate (PD, centre gauche) de l’ancien chef du gouvernement Matteo Renzi, et la situation d’Emmanuel Macron : « Combien de dégâts le Parti démocrate et les amis de Macron ont-ils causé à notre beau pays ? Heureusement, les Italiens les ont, démocratiquement, chassés avec leur vote. »
Enfin, les autorités iraniennes n’ont pas hésité elles aussi à y aller de leur conseil démocratique à Emmanuel Macron. Le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Bahram Qassemi, a ainsi déclaré que « le gouvernement français ne peut pas persister dans la violence contre son peuple. Nous lui recommandons de faire preuve de retenue. »
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