Un tribunal d’Ankara a reporté lundi au 24 octobre sa décision sur une possible destitution pour « fraude » de la direction du principal parti de l’opposition turque, le CHP, offrant un répit à la formation politique visée par des enquêtes et arrestations à répétition. Mais cette décision est interprétée par des experts comme une stratégie destinée à maintenir sous pression le Parti républicain du peuple (CHP, social-démocrate), sorti large vainqueur d’élections locales l’an passé aux dépens de la coalition au pouvoir sous pression, afin d’attiser des divisions en interne.





