Un bon président lance toujours un chantier par an. Tel pourrait être le leitmotiv de Recep Tayyip Erdogan, qui semble mettre un point d’honneur à inverser la courbe du chômage… dans le bâtiment. Critiqué pour son culte de la personnalité et son autoritarisme grandissant, Erdogan (premier ministre entre 2003 et 2014, président depuis 2014) entend faire renaître la grande Turquie, celle de l’âge d’or de l’Empire ottoman.
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