« Mais les Russes et les Iraniens ont vu que ça n’avait plus aucun sens. L’homme dans lequel ils ont investi n’est pas un homme à investir. De plus, les conditions dans la région, ainsi que les conditions mondiales ne sont pas les mêmes », a-t-il précisé.
À l’issue d’une offensive de onze jours, la coalition rebelle dominée par le groupe islamiste Hayat Tahrir al-Sham (HTS) a renversé dimanche le pouvoir de Bachar al-Assad, qui a fui en Russie avec sa famille, selon les agences russes.