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La Croix, le 04/09/2024
Adélie Aubaret
La Turquie a officiellement demandé à rejoindre les Brics+ mardi 3 septembre. Depuis la première utilisation de cet acronyme, en 2001, ce regroupement de pays s’est considérablement agrandi et continu à étendre son influence.
La Turquie a annoncé, mardi 3 septembre, avoir déposé une candidature pour rejoindre les Brics+. GIANLUIGI GUERCIA / AFP
La Turquie, éternelle candidate à l’intégration dans l’Union européenne, a décidé d’aller voir ailleurs. Ankara a officiellement déposé une demande d’adhésion aux Brics+, a annoncé le porte-parole du parti au pouvoir, mardi 3 septembre.
« Notre président a plusieurs fois affirmé que nous voulions devenir membre des Brics+. (…) Le processus est en cours », a affirmé Ömer Çelik, le porte-parole du parti politique du président Recep Tayyip Erdogan, avant d’ajouter : « Notre président a clairement affirmé que la Turquie voulait prendre part à toutes les plateformes importantes, dont les Brics+. »
Depuis la première utilisation de cet acronyme en 2001, le groupe s’est considérablement agrandi, attirant des pays voulant asseoir leur poids et leur influence dans le monde.
Un acronyme inventé par un économiste
L’abréviation « Bric » doit son invention à Jim O’Neill, économiste de la banque d’investissement Goldman Sachs, qui l’utilise pour la première fois en 2001, dans une note. Il prédit alors que le Brésil, la Russie, l’Inde et la Chine, dont les premières lettres forment l’acronyme « Bric », vont jouer un rôle de plus en plus important sur la scène mondiale. Le terme est repris deux ans plus tard dans un rapport de la banque.
Le premier sommet des quatre pays a lieu le 16 juin 2009 en Russie et le deuxième le 16 avril 2010 au Brésil. En 2011, l’Afrique du Sud rejoint l’organisation, qui est alors renommée « Brics » (avec un S pour South Africa).
Les cinq États membres établissent ainsi un groupe de discussion officiel qui se réunira une fois par an. Le but de ces sommets est de montrer le poids économique et politique de ces pays face aux grandes puissances que sont les États-Unis et l’Union européenne. Ils rejettent également le monopole du dollar dans l’économie mondiale.
Les Brics se dotent en 2014 d’une banque de développement basée à Shanghaï, en Chine. Conçue comme une alternative au Fonds monétaire international (FMI) et à la Banque mondiale, elle aide certains pays à financer leur développement.
À l’occasion de leurs sommets annuels, les Brics échangent régulièrement sur la lutte contre le protectionnisme de certains pays du G8 et la réforme de la gouvernance du FMI. En 2022, Anil Sooklal, un ambassadeur de l’organisation, regrettait la domination dans « l’architecture mondiale actuelle » de « quelques hégémonies ». Une domination qui « continue de marginaliser les pays en développement ».
Élargissement en 2024
Le 1er janvier 2024, les Brics se transforment pour devenir les Brics+. Impossible en effet de rajouter l’initial des nouveaux membres tant ils sont nombreux. Le groupe accueille l’Arabie saoudite, l’Égypte, les Émirats arabes unis, l’Éthiopie et l’Iran, et double ainsi le nombre de ses adhérents.
Initialement, ce ne sont pas cinq mais six pays qui devaient rejoindre les Brics. L’intégration de l’Argentine avait été annoncée en août 2023, mais Javier Milei, le nouveau président proche des États-Unis, a finalement décliné l’invitation.
Les Brics+ représentent désormais dans le monde 45 % de la population et 28 % du PIB. Toujours plus nombreux, ils comptent petit à petit bouleverser l’équilibre mondial et plaident notamment pour l’entrée de l’Union africaine au G20.
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