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AFP – 13/10/2014
Un responsable américain de la Défense avait affirmé qu’Ankara avait autorisé l’armée américaine à utiliser ses bases aériennes.
La Turquie n’a pas conclu de «nouvel accord» avec les Etats-Unis autorisant l’accès de ses bases aux avions de la coalition internationale qui mènent des frappes contre des cibles des jihadistes en Syrie et en Irak, a affirmé à l’AFP une source gouvernementale turque. «Il n’y a pas de nouvel accord avec les Etats-Unis à propos de [la base aérienne turque de] Incirlik», a déclaré à l’AFP cette source sous couvert de l’anonymat. Dimanche, un responsable américain de la Défense avait affirmé, sous couvert de l’anonymat, que le gouvernement d’Ankara avait autorisé l’armée américaine à utiliser ses installations pour mener des opérations contre le groupe Etat islamique (EI).
«Notre position est claire, il n’y a pas de nouvel accord», a insisté la source gouvernementale, rappelant que l’accord actuellement en cours entre la Turquie et les Etats-Unis n’autorisait l’accès de la base d’Incirlik, située près d’Adana (sud), à l’armée américaine que pour des missions logistiques ou humanitaires. «Les négociations continuent sur la base des conditions déjà posées par la Turquie», a-t-elle poursuivi.
La Turquie refuse pour l’instant de se joindre à la coalition militaire internationale dirigée par les Etats-Unis au motif que les frappes aériennes dirigées contre les jihadistes pourraient renforcer par ricochet le camp du président syrien Bachar al-Assad, la bête noire des dirigeants islamo-conservateurs turcs.
Les autorités d’Ankara ont posé comme préalable à leur participation la création d’une zone-tampon et d’une zone d’interdiction aérienne dans le nord de la Syrie, l’entraînement et l’armement des rebelles de l’opposition syrienne modérée et la réaffirmation de l’objectif de renverser l’actuel régime de Damas.
Les Kurdes avaient dénoncé ces derniers jours la passivité turque face à la situation à Kobané, troisième ville kurde de Syrie, et des émeutes prokurdes ont fait plus de 30 morts en Turquie.
De violents combats opposaient lundi jihadistes et combattants kurdes à proximité de la frontière turco-syrienne près de Kobané. Des tirs d’armes automatiques et de mortiers se succédaient dans les faubourgs de Kobané (Aïn al-Arab en langue arabe), à moins d’un kilomètre des barbelés qui séparent la Turquie de la Syrie, a constaté un journaliste de l’AFP présent à la frontière turque. Le secteur du poste-frontière de Mursitpinar est celui emprunté tous les jours par les civils kurdes qui fuient les combats et par des combattants kurdes évacués pour y être soignés dans les hôpitaux de la ville turque de Suruç. Des renforts militaires turcs, notamment des chars et des canons automoteurs, ont été déployés le long de la frontière.
Dans la ville même de Kobané, les combattants kurdes des Unités de protection du peuple (YPG) tentaient de reprendre un peu du terrain perdu ces derniers jours face au groupe Etat islamique (EI), qui les avait délogés vendredi de leur QG. «Les YPG ont mené une contre-offensive dans le secteur sud de Kobané et repris deux positions qui étaient sous contrôle de l’EI, tuant 13 jihadistes», a indiqué lundi l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH).
Dans le même temps, les avions de la coalition dirigée par Washington ont frappé lundi matin des positions de l’EI dans l’est et le sud de la ville, d’après l’ONG. La défense acharnée des Kurdes a contraint l’EI à faire venir des renforts en provenance de Raqqa et Alep, leurs bastions du nord syrien. Plus nombreux et mieux armés, les jihadistes contrôlent environ 40% de la ville, particulièrement le secteur est ainsi que des quartiers dans le sud et l’ouest, une semaine après y être entrés à la suite de plusieurs semaines de siège.
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