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RFI, le 24/01/2024
Le président turc Recep Tayyip Erdogan a reçu ce mercredi 24 janvier à Ankara son homologue iranien Ebrahim Raïssi, à l’occasion d’un Conseil de coopération de haut niveau Turquie-Iran. Au-delà des relations bilatérales, les deux dirigeants ont surtout échangé sur la guerre à Gaza.
Le président turc Recep Tayyip Erdogan, à droite, sert la main à son homologue iranien, Ebrahim Raïssi, à la suite d’une conférence de presse officielle à Ankara, ce mercredi 24 janvier 2024. via REUTERS – PRESIDENTIAL PRESS OFFCIE
Pendant la conférence de presse qui a suivi la rencontre des deux présidents à Ankara ce mercredi, Ebrahim Raïssi et Recep Tayyip Erdogan se sont efforcés de mettre en avant une position commune contre l’offensive israélienne à Gaza, rapporte notre correspondante à Istanbul, Anne Andlauer. Le président turc a affirmé que les deux pays partageaient « une détermination à continuer de coopérer pour soutenir la juste cause palestinienne ». Ebrahim Raïssi, sur le même mode, a souligné que l’Iran et la Turquie étaient « d’accord pour soutenir la résistance palestinienne ». Ankara et Téhéran se retrouvent donc dans la condamnation totale des attaques d’Israël contre la bande de Gaza.
Des divergences sur leurs relations à Israël
Mais sans nommer l’autre pays, les deux présidents ont aussi émis des critiques ou des inquiétudes qui révèlent leurs divergences. Ebrahim Raïssi a notamment estimé que « quand les pays qui ont des relations politiques et économiques avec le régime sioniste rompront ces relations, ils seront efficaces pour mettre fin aux meurtres » à Gaza.
Or la Turquie, malgré la guerre, continue d’entretenir des liens économiques étroits avec Israël, et n’a pas davantage rompu ses relations diplomatiques. Fervent défenseur de la cause palestinienne, le président Erdogan est l’un des plus virulents critiques d’Israël depuis le début de la guerre à Gaza. Pourtant, le chef d’État turc a toutefois jugé impossible jusqu’ici de « rompre complètement » avec Israël, avec lequel son pays continue de commercer.
Recep Tayyip Erdogan, pour sa part, a souligné « l’importance d’éviter les actions qui pourraient menacer davantage la sécurité et la stabilité de notre région ». Une façon d’appeler l’Iran à ne pas étendre le conflit dans la région.
Une « proximité tactique » entre les deux pays
Les deux chefs d’État ont aussi affirmé leur volonté de lutter contre les menaces terroristes, trois semaines après un double attentat suicide revendiqué par le groupe jihadiste État islamique, qui a fait plus de 80 morts dans le sud de l’Iran. Les deux dirigeants ont par ailleurs affiché leur volonté d’accroître leur commerce bilatéral, pour le porter à 30 milliards de dollars.
Selon des experts, la guerre à Gaza a créé une « proximité tactique » entre Téhéran et Ankara, malgré leurs relations complexes, voire dissonantes, sur d’autres dossiers géopolitiques que le conflit entre Israël et le Hamas. Par le passé, la Turquie a notamment appuyé les groupes rebelles en Syrie contre le président Bachar el-Assad, soutenu par Moscou et Téhéran.
Le soutien d’Ankara à l’Azerbaïdjan à propos du territoire disputé du Haut-Karabakh, dont Bakou s’est emparé en septembre 2023 lors d’une offensive éclair, a également irrité l’Iran. Le pays voit en effet d’un mauvais Å“il toute ambition de l’Azerbaïdjan, allié d’Ankara, de se ménager un couloir en territoire arménien vers l’enclave du Nakhitchevan, qui longe la frontière nord de l’Iran et qui pourrait compliquer son propre accès à l’Arménie.
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