« Avant que l’#ONU nous donne des leçons, qu’elle balaye devant sa porte ! » @MaximeLledo #djihadistes #GGRMC
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Libération, le 14/08/2019
Par Jacques Pezet
Le chroniqueur Maxime Lledo a reproché à l’ONU de critiquer la France pour le traitement des jihadistes en Irak alors qu’elle ne condamnerait pas la Turquie où, selon lui, des femmes sont «pendues sur des grues». Il admet avoir confondu la Turquie, où la peine de mort est abolie depuis 2004, avec l’Arabie Saoudite.
Question posée par le 14/08/2019
Bonjour,
Votre question fait référence à des propos tenus le 13 août 2019 par Maxime Lledo, étudiant en histoire et chroniqueur de l’émission des Grandes Gueules sur RMC. Réagissant à une lettre de la rapporteure spéciale de l’ONU sur les exécutions extrajudiciaires, sommaires ou arbitraires, qui critique le traitement des jihadistes français transférés en Irak, le jeune chroniqueur s’en est pris à l’ONU, en demandant à cette rapporteure qu’elle s’indigne de la même manière du sort des femmes en Iran, comme on peut le voir dans une séquence postée sur Twitter par le compte officiel de l’émission. Il déclare : «Avant que l’ONU nous donne des leçons, qu’elle s’occupe de balayer devant sa porte et qu’elle vire des pays comme la Turquie ou l’Iran qui sont au comité des droits des femmes et qui à côté de ça fouettent les femmes en place publique ou les pendent. Il y a quelque temps, il y a quand même eu des images en Turquie, où des femmes étaient pendues sur des grues.»
Les propos tenus au sujet de la Turquie, où selon Maxime Lledo des femmes auraient été «pendues sur des grues», ont fait réagir de nombreux internautes qui accusent le chroniqueur de diffuser des fausses informations en rappelant que la peine de mort est abolie en Turquie depuis 2004. CheckNews a cherché des récits de femmes pendues à des grues en Turquie et n’en a pas trouvé de traces. Nous avons uniquement pu trouver la condamnation de 16 femmes turques, qui avaient rejoint l’Etat islamique, à la pendaison par la justice irakienne.
Contacté par CheckNews pour connaître sa source, Maxime Lledo reconnaît s’être «trompé» en citant cet exemple et explique : «C’était en Arabie Saoudite. Pas du tout en Turquie. C’était une énorme, injuste et triste confusion bien que la condition des femmes ne soit pas exemplaire en Turquie.» Il ajoute qu’il a«surtout insisté sur le rôle de l’Iran» lors de son intervention. Nous avons pu retrouver des cas de pendaisons de femmes à des grues en Iran, ainsi que des décapitations de femmes en Arabie Saoudite. Sur Twitter, Maxime Lledo a publié un lien d’un article des Observateurs de France 24 supposément prouvant l’existence de femmes pendues en Arabie Saoudite, sauf que le texte évoque la pendaison de 5 hommes yéménites décapités et suspendus par les épaules à des grues après avoir été condamnés pour association de malfaiteurs, formation d’un groupe armé et pour le meurtre d’un citoyen saoudien.Maxime Lledo avait indiqué que l’Iran et la Turquie siégeaient au «comité des droits des femmes». La confusion entre la Turquie et l’Arabie Saoudite a encore eu lieu sur ce point puisque selon la 63e session de la Commission de la condition de la femme, qui s’est tenue en mars 2019, la Turquie ne faisait pas partie des 45 états élus pour une durée de quatre ans par le Conseil économique et social des Nations unies à la commission de la condition de la femme. C’était bien le cas de l’Iran (jusqu’en 2019) et de l’Arabie Saoudite (jusqu’en 2022). Logiquement, l’Iran ne siégera donc pas pour la 64e session de la commission en 2020.Le chroniqueur a publié des messages sur Twitter reconnaissant son erreur et indique à CheckNews qu’il rectifiera sa bourde à l’antenne.
Je me permets de rectifier. Les femmes pendues à des grues c’est en Arabie Saoudite et c’est bien ce même pays qui a rejoint en 2017 la Comission de la condition de la femme à l’ONU
Pour la Turquie, le Pdr se content d’affirmer que l’égalité des femmes est contre nature https://twitter.com/gg_rmc/status/1161187963688148992 …
Les Grandes Gueules✔@GG_RMC
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Cordialement.
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