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AFP – 20/10/2014
La bataille pour le contrôle de la troisième ville kurde de Syrie, où les jihadistes sont entrés le 6 octobre, continue à se mener rue après rue.
La Turquie a annoncé lundi une première mesure concrète pour aider les combattants kurdes qui défendent la ville syrienne de Kobané en révélant qu’elle autorisait les peshmergas irakiens à rejoindre la ville assiégée via son territoire.
«Nous aidons les forces des peshmergas kurdes à franchir la frontière pour aller à Kobané», a déclaré le ministre turc des Affaires étrangères Mevlut Cavusoglu. «Nous n’avons jamais voulu que Kobané tombe. La Turquie a mené différentes initiatives pour l’empêcher», a expliqué Cavusoglu lors d’une conférence de presse à Ankara avec son homologue tunisien Mongi Hamdi.
Malgré les pressions de ses alliés, Etats-Unis en tête, le gouvernement islamo-conservateur d’Ankara a jusque-là toujours refusé d’intervenir militairement pour venir en aide aux combattants kurdes syriens qui résistent depuis plus d’un mois aux forces du groupe Etat islamique. Ce revirement turc intervient alors que les Etats-Unis, qui ont multiplié à la tête de la Coalition internationale antijihadiste les frappes contre les cibles de l’EI sur Kobané, ont procédé tôt lundi matin sur Kobané à un premier largage aérien d’armes et de munitions destinées aux forces kurdes qui défendent la ville. Le chef de la diplomatie turque n’a pas directement commenté cette initiative américaine.
«Nous coopérons pleinement avec la coalition», s’est contenté d’indiquer Cavusoglu. «Nous voulons nous débarrasser de toutes les menaces qui pèsent sur la région. Nous évaluons l’aide militaire et médicale larguée à cette fin», a-t-il ajouté.
«Organisation terroriste»
Dimanche encore, le président Recep Tayyip Erdogan avait rejeté catégoriquement tous les appels lancés à son pays pour qu’il fournisse directement des armes aux combattants des Unités de protection du peuple (YPG), la branche armée du Parti de l’union démocratique (PYD) qu’il a accusé d’être une «organisation terroriste». «On aurait tort de s’attendre à ce que nous disions ouvertement «oui» à notre allié américain de l’Otan pour donner ce genre de soutien», avait-il déclaré. La Turquie considère le PYD comme le pendant syrien du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), un mouvement qui mène depuis 1984 en Turquie une guérilla qui a fait quelque 40 000 morts.
Ankara a engagé il y a deux ans des pourparlers avec le chef du PKK pour mettre un terme à ce conflit mais ils sont aujourd’hui menacés par le refus turc d’intervenir pour Kobané, qui a provoqué la colère des Kurdes de Turquie. La Turquie d’Erdogan entretient par contre de bonnes relations avec la région autonome kurde d’Irak, dont les combattants peshmergas sont à la pointe du combat contre l’EI dans le nord de l’Irak. Selon l’agence kurde Rudaw, le président de la région autonome irakienne du Kurdistan, Massoud Barzani, a lui-même demandé aux autorités turques de faciliter le passage de ses peshmergas vers la ville syrienne assiégée.
La semaine dernière, le président français François Hollande avait estimé que la Turquie devait «absolument ouvrir» sa frontière avec la Syrie pour permettre de renforcer les combattants kurdes qui la défendent. Membre de l’Otan, la Turquie a jusque-là également refusé d’autoriser l’armée de l’air américaine à utiliser sa base aérienne d’Incirlik, située dans le sud de la Turquie à 300 km à peine de Kobané, pour mener des frappes contre les positions jihadistes. Des négociations à ce sujet sont toujours en cours.
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