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L’Express avec AFP, le 03/09/2022
Alors que les Européens se voient à nouveau temporairement coupés du gaz russe, le G7 veut forcer la Russie a lui vendre du pétrole bradé.
Une valse en deux temps. Vendredi 2 septembre, les pays du G7 ont annoncé vouloir forcer la Russie à vendre son pétrole à des prix irraisonnablement bas. Une sanction qui arrangerait les finances de l’Occident, en marge de la guerre en Ukraine et de la crise de l’énergie. Mais quelques minutes après ces déclarations, une fuite se « déclenche » dans le gazoduc Nord Stream : le gaz russe ne passe plus. Une coïncidence difficile à avaler pour l’Europe, d’autant que l’excuse avancée semble douteuse. En parallèle, Kiev a fait savoir qu’elle soupçonnait la Russie d’avoir évacué ses armes de la centrale nucléaire de Zaporijia en catimini.
La centrale de Zaporijia de nouveau déconnectée du réseau
La centrale nucléaire de Zaporijia, occupée par les forces russes, a « de nouveau perdu la connexion » au réseau électrique, a annoncé samedi dans un communiqué l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), dont des experts se trouvent sur place. Cet incident, qui s’était déjà produit le 25 août, est survenu « après de nouveaux bombardements dans la zone », selon les informations fournies par les autorités ukrainiennes à l’instance onusienne. Le site continue cependant à fonctionner « grâce à une ligne de secours », précise l’AIEA.
Zaporijia : Erdogan propose à Moscou sa médiation
Lors d’un entretien téléphonique entre les deux hommes ce samedi, « le président Erdogan a déclaré que la Turquie peut jouer un rôle de facilitation sur la centrale nucléaire de Zaporijjia, comme elle l’a fait pour l’accord sur les céréales » dont les exportations étaient bloquées par la guerre, a indiqué la présidence turque dans un communiqué.
L’Ukraine a indiqué vendredi avoir frappé une base russe à Energodar (sud), non loin de la centrale. Lors d’une rencontre à Lviv, dans du pays, avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky, Recep Tayyip Erdogan s’était inquiété, le 19 août, d’une possible catastrophe nucléaire en cas de dégât dans ces installations. « Nous sommes inquiets, nous ne voulons pas d’un nouveau Tchernobyl », avait-il déclaré, en référence à l’accident nucléaire de 1986 en Ukraine.
La Turquie entretient de bonnes relations tant avec Moscou que Kiev. Si Ankara a fourni à l’Ukraine des drones militaires, elle a refusé de se joindre aux sanctions occidentales décrétées contre la Russie après l’invasion de l’Ukraine.
Le G7 veut plafonner les prix du pétrole russe
Vendredi, l’idée a été présentée comme un coup double. Les pays membres du G7 ont annoncé vouloir forcer la Russie à leur vendre du pétrole à très bas tarifs. « Une étape essentielle dans la réalisation de notre double objectif, à savoir exercer une pression à la baisse sur les prix mondiaux de l’énergie tout en privant (Vladimir) Poutine de revenus pour financer sa guerre brutale en Ukraine », selon la secrétaire américaine au Trésor, Janet Yellen.
Les membres du G7 ont déjà limité, voire suspendu, leurs achats de pétrole russe. Pour avoir un effet, le projet de plafonnement doit donc être adopté par d’autres pays, en priorité de grands clients de la Russie comme l’Inde ou la Chine. Or ces pays achètent déjà du pétrole pas cher à la Russie. Et Moscou a déjà fait savoir qu’elle ne plierait pas. Le vice-Premier ministre russe chargé des questions énergétiques, Alexandre Novak, a prévenu jeudi que la Russie ne vendrait plus de pétrole aux pays plafonnant les prix.
Une fuite d’huile pour expliquer la coupure du gaz russe ? Siemens en doute
Vendredi, l’entreprise russe Gazprom a annoncé l’interruption totale du gazoduc Nord Stream, pour au moins trois jours. Raison évoquée : une fuite d’huile, qui mettrait en danger le fonctionnement de moteurs, a expliqué le géant, dans un communiqué sur la plateforme Telegram. Pas très convaincant. « En tant que fabricant de turbines, nous pouvons affirmer qu’une telle constatation ne constitue pas une raison technique pour arrêter les opérations », a déclaré Siemens Energy dans un communiqué.
Siemens a également affirmé que par le passé l’apparition « de ce type de fuite n’a pas entraîné l’arrêt des opérations ». De quoi mettre à mal les explications russes. D’autant plus que cette « fuite » intervient juste après une série de déclarations du G7 visant à réduire les bénéfices russes tirés de leur pétrole. L’UE n’est pas dupe non plus : « l’utilisation de l’arme du gaz n’entamera pas la résolution de l’Union. Nous allons accélérer nos efforts vers l’indépendance énergétique », a déclaré Charles Michel, le président du Conseil européen. En attendant l’indépendance, l’Europe devra tenir.
Les funérailles de Gorbatchev, sans Poutine mais avec Orban
Des centaines de Russes ont fait, ce samedi 3 septembre, leurs adieux au dernier dirigeant de l’Union soviétique, Mikhaïl Gorbatchev. Grande figure politique du XXe siècle, Gorbatchev s’est éteint mardi soir à l’âge de 91 ans des suites d’une « longue et grave maladie », selon l’hôpital où il était soigné.
Salué en Occident comme un homme de paix, Gorbatchev est vu par beaucoup en Russie comme le responsable du déclassement géopolitique de Moscou et des années de crise politique et économique qui ont suivi la chute de l’URSS. Signe de désaffection du pouvoir russe, aucun jour de deuil national n’a été annoncé. Surtout, les funérailles se déroulaient en l’absence de Vladimir Poutine, justifiée par le Kremlin par un « emploi du temps » chargé.
Mais en pleine crise ouverte entre Moscou et l’Occident à cause du conflit en Ukraine, aucun grand dirigeant mondial n’était présent à la cérémonie. Le Premier ministre nationaliste hongrois Viktor Orban, proche du Kremlin, est le seul dirigeant étranger dont la venue a été annoncée samedi, au dernier moment. Selon la présidence russe, aucune rencontre n’est prévue avec Vladimir Poutine.
Les Russes ont-ils retiré des armes placées à la centrale nucléaire de Zaporijia ?
La Russie aurait-elle fait disparaître des armes à Zaporijia ? C’est ce qu’affirme l’armée ukrainienne. Tout l’équipement russe aurait été évacué de la centrale avant l’arrivée, jeudi, de la mission de l’AIEA, l’organisation internationale chargée de vérifier qu’il n’y a pas de rejets radioactifs importants sur les lieux. Depuis plusieurs semaines, Kiev et certains pays occidentaux accusent la Russie d’amasser les armes sur le site nucléaire, le plus grand d’Europe. Une stratégie qui permettrait de les mettre à l’abri des tirs ukrainiens, qui visent systématiquement les dépôts de munitions, mais qui fait un peu plus craindre un accident nucléaire, alors que des bombardements ont déjà endommagé le site.
Pour l’instant, l’AIEA affirme que la situation est relativement stable. Compte tenu de la « cohabitation » d’employés ukrainiens, de représentants du secteur nucléaire russe et de « forces militaires », la centrale continue de fonctionner grâce à un « modus vivendi professionnel », a expliqué Rafael Grossi, le chef de l’organisation internationale. Mais Kiev s’est immédiatement interrogé sur la fiabilité d’un tel constat. Selon le président Volodymyr Zelensky, la Russie aurait interdit à certains journalistes d’accompagner la visite. L’AIEA rétorque qu’elle est indépendante, et que deux de ses membres vont s’installer sur le site nucléaire pour le surveiller.
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