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La Croix, le 28/07/2015
Washington et Ankara ont décidé, lundi 27 juillet, de muscler leur coopération militaire pour éradiquer Daech du nord de la Syrie.
La base militaire Incirlik, en 2001. Ankara a donné son feu vert pour que les avions américains puissent utiliser cette base pour bombarder le groupe islamiste en Syrie et en Irak. TARIK TINAZAY/AF
La Turquie a par ailleurs promis de continuer ses frappes contre les rebelles kurdes jusqu’à ce qu’ils déposent les armes.
Que contient l’accord entre Américains et Turcs ?
L’accord vise à établir une zone débarrassée de Daech, dans le nord de la Syrie, et à améliorer la stabilité d’une région située le long de la frontière turque. Depuis le 24 juillet, l’armée turque mène des raids aériens contre des objectifs des djihadistes en Syrie.
Une réponse à l’assassinat d’un de ses soldats, lors d’une attaque à la frontière mais surtout en représailles à l’attentat-suicide de Suruç, attribué à Daech, qui avait fait 32 victimes civiles.
Ankara a donné son feu vert une semaine auparavant pour que les avions américains puissent utiliser la base d’Incirlik (sud) pour bombarder le groupe islamiste en Syrie et en Irak. L’accord implique également un soutien turc, au sol, aux troupes de l’opposition syrienne modérée, partenaires des États-Unis.
En revanche, il n’y aura pas de « zone d’exclusion aérienne », selon un responsable américain, impliquant la destruction éventuelle d’avions du régime syrien, réclamée par la Turquie. Certains détails de l’accord, comme la superficie de la zone tampon, restent encore flous.
« Les Américains vont largement déléguer le contrôle de la zone à la Turquie et à ses alliés du Golfe car ils veulent se concentrer sur l’Irak », estime Laurent Vinatier, chercheur associé à l’Institut Thomas More. « La stratégie turque pourrait se retourner contre elle avec la multiplication d’attentats, revendiqués par Daech, sur son propre sol », prévient-il.
Par ailleurs, le président turc Recep Tayyip Erdogan a déclaré que le nettoyage de ces régions permettrait la mise en place « d’une zone de sécurité » pour aider au retour chez eux 1,8 million de réfugiés syriens installés en Turquie.
Le gouvernement d’Ankara nourrit-il d’autres ambitions ?
Presque simultanément à son entrée en guerre contre les djihadistes de Daech, la Turquie a bombardé les bases arrière des rebelles du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), dans le nord de l’Irak.
Sur cet aspect, Washington a une position ambiguë. « Les Américains répètent que la Turquie a le droit de se défendre face au PKK, raconte Jean Marcou, chercheur associé à l’Institut français des études anatoliennes. Mais ils reconnaissent aussi que le PKK et sa branche syrienne, les unités de protection du peuple (YPG), sont efficaces sur le terrain dans le combat face à Daech. »
Dans la foulée de l’attentat de Suruç, qui a visé des militants prokurdes, le PKK avait revendiqué une série d’attaques meurtrières contre des policiers turcs. Le premier ministre turc Ahmed Davutoglu a affirmé que son pays poursuivrait les frappes contre le PKK tant que celui-ci n’aura pas renoncé aux armes. « Ankara veut affaiblir la progression des Kurdes et ne pas laisser s’installer, à sa frontière, une zone qu’ils contrôleraient », explique Laurent Vinatier.
Une escalade qui met en péril le fragile processus de paix engagé en 2013, entre Erdogan et le leader du PKK, pour mettre un terme à une rébellion qui a fait 40 000 morts depuis 1984.
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