L’offensive éclair, lancée par le groupe rebelle islamiste Hayat Tahrir al-Cham (HTS) contre les forces pro-Assad en Syrie, a fait couler beaucoup d’encre en Turquie. Depuis 2022, Ankara souhaite en effet un rapprochement avec Damas. En juillet dernier, le président turc s’était même dit prêt à accueillir Bachar el-Assad. Or, le président syrien a conditionné toute négociation au retrait des troupes turques de son territoire. « Assad, qui n’a pas saisi la main que le président Erdoğan lui a tendue avec persistance pendant un an, paie le prix de son erreur », estime la presse pro-gouvernementale. Revue de presse de notre correspondante à Istanbul.





