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Ex-pensionnaires de L1, Valbuena, Gomis, Belhanda, Ménez ont rejoint cet été le championnat turc, la Süper Lig, qui reprend ce vendredi.
Explications.
PARÂ ANTOINE GRENAPIN
Il s’agit des tendances fortes du mercato actuel qui s’achèvera le 31 août. D’un côté, une inflation des prix colossale à l’image du transfert faramineux de Neymar au PSG. De l’autre, des championnats qui se renforcent, là aussi à coups de millions d’euros. C’est le cas de la Süper Lig, la « Ligue 1 turque », qui débute ce vendredi : durant la trêve estivale, des dizaines de joueurs venus de partout en Europe, et surtout de l’Hexagone, ont signé dans des clubs turcs.
Une cohorte d’ex-pensionnaires de Ligue 1
Mathieu Valbuena et Nabil Dirar ont rejoint Fenerbahçe où évolue Van Persie ; Bafétimbi Gomis et Younès Belhanda se sont engagés avec Galatasaray alors que Jérémy Ménez a signé à Antalyaspor où évolue déjà  Samuel Eto’o. Ils retrouvent une cohorte d’ex-pensionnaires de Ligue 1, à l’image de Van der Wiel (passé du PSG à Fenerbahçe) ou les ex-Lillois Aurélien Chedjou (Istanbul BB) et Moussa Sow(Fenerbahçe). En plus des joueurs de Ligue 1, certains internationaux ont également cédé aux sirènes de la Süper Lig, à l’image de Pep, le défenseur portugais, un temps courtisé par le PSG qui a signé il y a quelques semaines pour le Besiktas, le champion en titre.
Un taux d’imposition très attractif
Ces joueurs bénéficient de salaires plus qu’attractifs, surtout pour les trentenaires qui viennent de quitter la Ligue 1. Gomis et Valbuena vont percevoir entre 3,4 et 4 millions d’euros annuels (bonus compris), une somme qu’aucun club français n’aurait pu leur garantir. La Süper Lig est en effet le championnat le plus attractif en matière d’imposition pour les footballeurs, avec un taux à  15 % contre 47 % en France. De plus, comme cela se répand de plus en plus dans l’Hexagone, les clubs turcs ont l’habitude de prendre en charge les impôts des joueurs.
Les droits télé ont explosé
À l’instar de l’Angleterre l’an dernier, les droits télé ont explosé en Turquie. La chaîne Digiturk, propriété du groupe BeIn Media Groupe, s’est en effet engagée à débourser plus de 550 millions d’euros par an entre 2017 et 2022, contre 362 millions lors du précédent contrat !
La législation en matière de nombre de joueurs étrangers par club a également évolué. Depuis 2015, chaque équipe peut disposer de quatorze joueurs non turcs et onze peuvent figurer sur chaque feuille de match. Ainsi, les dirigeants de club s’autorisent davantage à observer et à piocher dans les championnats étrangers. D’autant que si le contexte politique reste très tendu– un peu plus d’un an après la tentative de coup d’État sévèrement réprimé par le régime du président Erdogan – la croissance reste forte et pousse des investisseurs à soutenir les clubs du pays.
Ces petits qui rêvent de bousculer les gros
Pendant plusieurs décennies, les clubs stambouliotes ont accumulé les titres nationaux : Galatasaray en compte vingt, Fenerbahçe dix et Besiktas quinze dont la dernière édition. Mais le renfort de joueurs étrangers depuis plusieurs années permet à des « petits clubs » de jouer la course pour le titre.
C’est le cas de Bursaspor, champion en 2010, qui peut compter sur le renfort de Paul Le Guen pour retrouver les sommets après une saison ratée (15e) mais aussi d’Istanbul Basaksehir (proche du président Erdogan), 2e la saison dernière, ou encore du dernier vainqueur de la coupe, Konyaspor.
Des stades qui sonnent creux
Pour la première fois, les grandes affiches de ce championnat seront proposées en France puisque BeIn Sport a récupéré les droits dans l’Hexagone. Malgré des rencontres qui s’annoncent alléchantes et un championnat relevé, tout n’est pas rose dans le football turc. En effet, l’affluence dans les stades a globalement baissé avec notamment 16 000 spectateurs de moyenne à Galatasaray et Fenerbahçe, contre 42 000 il y a trois ans. En cause : l’instauration du Passolig qui oblige les supporters réguliers à détenir une carte électronique contenant leurs informations personnelles pour rentrer dans le stade. Les groupes ultra déchantent et les stades sonnent creux, même si de nouvelles enceintes sortent de terre afin d’organiser l’Euro 2024 où la Turquie s’est portée candidate.
Des salaires pas toujours payés à temps
Par ailleurs, plusieurs joueurs se sont plaints de retards de paiement, surtout dans les clubs ne faisant pas partie des trois grands clubs stambouliotes (Galatasaray, Fenerbahçe, Besiktas). Un agent expliquait début juillet au journal L’Équipe qu’au bout « de trois mois de retard de paiement, un joueur peut saisir la FIFA. Souvent, comme par magie, les clubs trouvent un arrangement. Mais les stars étrangères sont généralement à l’abri des problèmes ». Il ne reste plus à ces joueurs qu’à briller sous leurs nouvelles couleurs et contribuer ainsi au développement d’un championnat qui n’en finit plus de progresser.
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