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20 Minutes, le 27/10/2018
DIPLOMATIE «Ce qui se joue ici aujourd’hui, c’est la stabilité en Syrie pour éviter un nouveau désastre humanitaire», a déclaré Emmanuel Macron…
B.C. avec AFP
Les dirigeants de la Turquie, la Russie, la France et l’Allemagne se sont réunis samedi à Istanbul pour un sommet inédit sur la Syrie visant à préserver une trêve fragile dans le nord-ouest et avancer vers une issue au conflit. Lors de cette rencontre, les présidents russe Vladimir Poutine, turc Recep Tayyip Erdogan, français Emmanuel Macron et la chancelière allemande Angela Merkel doivent chercher des passerelles entre leurs initiatives concurrentes pour mettre fin à la guerre qui ravage la Syrie depuis 2011.
« Ce qui se joue ici aujourd’hui, c’est la stabilité en Syrie pour éviter un nouveau désastre humanitaire », a déclaré Emmanuel Macron sur Twitter juste avant le sommet.
« Les yeux du monde sont sur nous aujourd’hui, a déclaré Recep Tayyip Erdogan à l’ouverture du sommet. J’espère que nous avancerons de manière sincère et constructive et que nous serons à la hauteur des attentes. » Cette rencontre survient alors que la situation dans la province rebelle d’Idleb (nord-ouest) reste explosive : des frappes du régime y ont fait sept morts vendredi, le bilan le plus élevé depuis l’entrée en vigueur mi-septembre d’un accord russo-turc ayant imposé un relatif silence les armes.
L’ONU en observatrice
L’accord entre Moscou, allié du régime, et Ankara, parrain des rebelles, prévoyait notamment la mise en place d’une « zone démilitarisée » de 15 à 20 kilomètres de large pour séparer les territoires insurgés d’Idleb des régions gouvernementales. Les présidents Erdogan et Poutine avaient conclu cette entente in extremis alors que le régime était sur le point de lancer une offensive de grande ampleur sur cet ultime grand bastion de l’opposition, au risque d’une catastrophe humanitaire.
Lors du sommet, les quatre dirigeants doivent également « étudier quelles formules nouvelles peuvent être trouvées afin d’apporter une solution politique » à ce conflit complexe qui a fait plus de 360.000 morts et des millions de déplacés, selon Ankara. Sur ce point, la formation sous les auspices de l’ONU d’un Comité constitutionnel censé élaborer une nouvelle loi fondamentale s’annonce comme l’un des principaux défis en raison du blocage du régime.
L’émissaire des Nations unies pour la Syrie Staffan de Mistura, qui a déploré vendredi la paralysie de son plan, était lui aussi présent au sommet d’Istanbul.
« Harmoniser les opinions »
Si aucune annonce majeure n’est attendue à l’issue du sommet – l’Elysée dit avoir des « attentes modestes » et le Kremlin appelle à être « réaliste » -, cette réunion au format inédit est l’occasion pour les quatre dirigeants de chercher des terrains d’entente.
La Turquie et la Russie forment avec l’Iran un trio incontournable sur le terrain, où ces trois pays aux intérêts propres ont investi d’importantes ressources militaires.
La France et l’Allemagne font partie avec cinq autres pays, dont les Etats-Unis, du « small group » sur la Syrie qui travaille notamment à trouver une solution politique. Leurs efforts ont cependant été éclipsés par le processus dit d’Astana mené par Ankara, Moscou et Téhéran. « Il y a des approches différentes. Mais, en gros, tout le monde souhaite naturellement aboutir à un règlement politique en Syrie », avait souligné vendredi le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, appelant à « harmoniser les positions » lors du sommet.
L’affaire Khashoggi en fond
Les quatre pays doivent également évoquer la reconstruction de la Syrie, mais la ministre allemande de la Défense Ursula von der Leyen a prévenu samedi que celle-ci ne pourrait pas se faire « au profit de la dictature d’Assad ».
Deux acteurs importants du conflit en Syrie, l’Iran et les Etats-Unis, qui sont à couteaux tirés, seront absents samedi. Emmanuel Macron s’est toutefois entretenu jeudi avec le président américain Donald Trump pour accorder leurs positions. Face à l’influence que Moscou assoit grâce à ses victoires militaires au bénéfice du régime, le ministre américain de la Défense Jim Mattis a affirmé samedi que la Russie ne pourrait « pas remplacer les Etats-Unis » au Proche-Orient.
Ce sommet intervient par ailleurs au moment où la région est secouée par le meurtre du journaliste critique saoudien Jamal Khashoggi dans le consulat de son pays à Istanbul. Avant le sommet, Recep Tayyip Erdogan a reçu ses hôtes pour des entretiens bilatéraux. La presse turque avait indiqué qu’il évoquerait l’affaire Khashoggi avec eux.
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