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Le Monde avec AFP, le 11/03/2020
Selon une enquête du « New York Times », un centre secret et illégal permet à la Grèce de limiter l’afflux de migrants venus de Turquie.
Publié hier à 19h08
La Grèce a démenti mercredi 11 mars des informations du New York Times sur l’existence d’un centre de détention « secret » à la frontière avec la Turquie pour détenir, avant de les expulser, les migrants arrivés sur son territoire. Selon le quotidien américain, « le centre extrajudiciaire est l’une des quelques tactiques que la Grèce utilise pour empêcher une répétition de la crise migratoire de 2015 ».
« Il n’y a pas de centre de détention secret en Grèce », a déclaré mercredi le porte-parole du gouvernement grec, Stelios Petsas. « Tout ce qui concerne la surveillance des frontières, ou impliquant la sécurité, est transparent. La Constitution, le droit grec et les acquis européens sont en vigueur », a-t-il ajouté. « Il n’y a rien de caché », a-t-il encore affirmé. « Si le New York Times est au courant de cela, je ne vois pas comment un centre de détention comme celui-là pourrait rester secret. »
La Commission européenne a appelé mercredi les autorités grecques à « enquêter sur toute allégation de pratiques illégales ou de violences », précisant que la question serait abordée lors d’une visite jeudi à Athènes de la présidente, Ursula von der Leyen, et de la commissaire aux affaires intérieures, Ylva Johansson. « Les autorités grecques ont la difficile tâche de gérer une situation exceptionnelle, mais elles doivent le faire dans le respect total des droits fondamentaux et agir de façon proportionnée », a déclaré un porte-parole de l’exécutif européen.
Des soldats grecs cagoulés, des fourgonnettes sans plaque
Le New York Times assure mercredi avoir confirmé l’existence du camp au moyen d’images satellites, après avoir interviewé un Syrien renvoyé en Turquie qui a rapporté avoir été incarcéré sur ce site près du village de Poros, dans le nord-est de la Grèce.
Athènes a toujours démenti renvoyer en Turquie les migrants interpellés. Une source gouvernementale grecque assurait la semaine dernière qu’« il n’y a pas de refoulements ». Le gouvernement « empêche l’entrée, c’est tout à fait différent ». Des journalistes de l’Agence France-Presse (AFP) ont pourtant vu le long de la frontière des soldats grecs cagoulés embarquant des migrants dans des véhicules militaires. Certains réfugiés se trouvaient aussi à bord de fourgonnettes sans plaque d’immatriculation.
Des milliers de personnes se sont ruées vers la frontière terrestre bordée par le fleuve Evros (également appelé Maritsa) quand Ankara a annoncé, le 28 février, l’ouverture de ses portes à tous les demandeurs d’asile souhaitant rejoindre l’Europe. Des dizaines ont réussi à traverser le fleuve et à pénétrer sur le territoire grec.
Interrogé la semaine dernière sur le sort des migrants interpellés sur le sol grec, le ministre des migrations grec n’a pas voulu faire de commentaires. Sur le terrain, les policiers et les militaires ont systématiquement refusé d’indiquer la destination de ces personnes interpellées.
Des habitants et des personnes ayant passé du temps à la frontière la semaine dernière ont pourtant confirmé cette pratique, illégale, de refoulement. Autrefois, « l’armée nous demandait de ramener les migrants de l’autre côté [de la frontière]. Maintenant, ils le font eux-mêmes », a raconté un habitant sous le couvert de l’anonymat.
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