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Marie Le Douaran
L’Express – 13/10/2014
En quelques semaines, Kobané est devenu le symbole de la lutte contre l’organisation Etat islamique (EI). Les djihadistes tentent de prendre la troisième ville kurde syrienne afin de contrôler une zone sans discontinuité à cheval sur l’Irak et la Syrie. Mais la lutte s’avère plus difficile que prévu: l’EI a été contrainte d’envoyer des combattants en renfort dimanche, alors que les Unités de protection du peuple (YPG) défendent bec et ongle leur dernier bastion dans la région. Ils ont gagné une cinquantaine de mètres en direction de leur QG, tombé aux mains de l’EI vendredi, selon l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH).
Les djihadistes « envoient même des hommes qui n’ont pas beaucoup d’expérience du combat. Il s’agit bien d’une bataille cruciale pour eux. S’ils n’arrivent pas à prendre Kobané, cela va porter un coup dur à leur image (…). Ils ont mis tout leur poids dans cette bataille », fait remarquer Rami Abdel Rahmane, directeur de l’OSDH.
Des chars contre des armes légères
Mais dans ce combat, la situation reste clairement à l’avantage des djihadistes, qui contrôlent environ 40% de la ville. L’EI, dont les rangs comptent 20 000 à 31 500 hommes, selon la CIA, aurait mobilisé 3000 à 9000 combattants, selon les sources, pour prendre la région et la ville de Kobané. Sans compter les renforts de dimanche. Côté kurde, les effectifs des YPG ne sont pas connus, mais tous les observateurs s’accordent à dire qu’ils sont nettement moins nombreux. Des renforts sont arrivés depuis la Turquie ou le reste du Kurdistan syrien par vagues de quelques centaines de combattants, mais se sont taris avec le renforcement de la frontière turque et l’avancée des djihadistes qui rendent le passage plus dangereux.
Côté armement, l’avantage va aussi aux djihadistes de Daech. L’organisation est connue pour être très bien armée, notamment depuis la prise de Mossoul, en juin. Des armes et des équipements de l’armée irakienne, parfois fournis par les Etats-Unis, sont désormais utilisés par l’EI: hélicoptères, chars, 4×4, missiles antichars, fusils d’assaut, mitrailleuses lourdes… énumère Le Parisien. A Kobané, les témoins rapportent que les djihadistes utilisent essentiellement des chars. Selon le Times, 30 à 50 véhicules seraient déployés dans cette bataille. En face, les combattants kurdes ne disposent pas d’armes lourdes et sont essentiellement équipés de kalachnikov et de lance-grenades. Pas de quoi faire le poids face aux chars.
A plusieurs reprises, les Kurdes des PYG ont demandé des livraisons d’armes, de munitions et d’armes lourdes pour défendre Kobané, mais la coalition internationale s’en tient à des frappes aériennes. Qui pour l’instant n’ont pas su faire reculer les djihadistes.
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