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Le Monde – 09/10/2014
Les djihadistes s’infiltrent toujours dans la ville, dont ils contrôleraient plus d’un tiers des quartiers. La communauté internationale peine à se coordonner pour éviter la prise de Kobané.
Repoussés un temps par les bombardements de la coalition dirigée par les Etats-Unis, les djihadistes de l’Etat islamique (EI) sont repatis à l’assaut de Kobané, jeudi 9 octobre. Equipés d’armes lourdes et de chars, ils contrôleraient désormais plus d’un tiers de la ville, selon l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH).
« [Ils tiennent] tous les quartiers est, une petite partie du nord-est et un secteur dans le sud-est », a déclaré à l’agence Reuters le directeur de l’OSDH, Rami Abdelrahman. « Des civils ont peut-être été tués parce qu’il y a des affrontements intenses », a ajouté Asya Abdullah, vice-présidente du Parti de l’union démocratique (PUD), principale formation kurde impliquée dans la défense de Kobané.
L’OSDH confirme qu’un attentat-suicide au camion piégé a eu lieu dans ce secteur et que les djihadistes ont bénéficié de l’arrivée de renforts depuis la province syrienne de Rakka, leur base-arrière.
Preuve que les raids aériens menés par la coalition autour des Etats-Unis ne parviennent pas à repousser les djihadistes, ni même à couper leurs lignes d’approvisionnements, même si les frappes ont repris ce matin, selon une journaliste turque présente de l’autre côté de la frontière.
Lire l’interview de Jean-Paul Laborde, le Monsieur antiterrorisme des Nations unies : « On ne peut pas lutter contre le terrorisme avec les seules forces militaires »
Bombardements sur Kobané.
La coalition internationale contre le groupe Etat islamique a mené, mardi 7 et mercredi 8 octobre 2014, six frappes près de la ville syrienne de Kobané, assiégée par les jihadistes, a indiqué l’armée américaine dans un communiqué. 01:04
« IL FAUDRAIT DES TROUPES COMPÉTENTES »
L’efficacité de ces frappes est même remise en cause dans les rangs américains. James Kirby, porte-parole du Pentagone, a reconnu, mercredi, que « les frappes aériennes seules n[‘allaient] pas sauver la ville de Kobané » :
« Il faudrait des troupes compétentes – des rebelles syriens ou des forces gouvernementales irakiennes – pour arriver à vaincre l’EI. »
En attendant « ces troupes compétentes », les responsables américains demandent de la patience. « Nous poursuivons nos frappes avec nos partenaires. Cela reste une mission difficile », a résumé Barack Obama à l’issue d’une rencontre avec les plus hauts gradés américains. Le chef de la diplomatie américaine, John Kerry, est allé dans le même sens :
« Aussi horrible que ce soit d’observer en temps réel ce qui se passe à Kobané (…), vous devez prendre du recul et comprendre l’objectif stratégique [des Etats-Unis]. »
PAS D’INTERVENTION TURQUE, PAS DE ZONE TAMPONS
Les Américains n’hésitent en revanche plus à pointer du doigt l’inaction de la Turquie. Si des chars de l’armée turque sont déployés à quelques kilomètres de Kobané depuis plusieurs jours, ils ne viennent pas en aide aux combattants kurdes. Mais la Turquie a été claire, son ministre des affaires étrangères, Mevlut Cavusoglu, a de nouveau exclu, jeudi, toute intervention terrestre unilatérale.
« Il n’est pas réaliste d’attendre de la Turquie qu’elle mène une opération terrestre par elle-même. Nous avons des discussions (…) Une fois qu’il y aura une décision commune, la Turquie ne se privera pas de jouer son rôle »
La possibilité de créer une zone tampon entre la Syrie et la Turquie pour protéger les personnes déplacées par le conflit est également devenue un sujet de discorde entre Washington et Ankara.
Le président turc, Recep Tayyip Erdogan, qui a maintes fois plaidé pour cette possibilité, a reçu le soutien de François Hollande, mercredi. Même le secrétaire d’Etat américain John Kerry a estimé que l’idée « valait la peine d’être regardée ». Mais la Maison Blanche, le département d’Etat et le Pentagone ont immédiatement recadré leur ministre, affirmant qu’une zone tampon n’était « pas à l’étude pour le moment ».
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