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Le Monde avec AFP, le 03/02/2020
Après la mort de six soldats turcs, Ankara a riposté et tué « entre 30 et 35 » soldats syriens, selon Recep Tayyip Erdogan.
Le Monde avec AFP Publié hier à 07h46, mis à jour hier à 17h16
Il pourrait s’agir de l’affrontement direct le plus meurtrier entre les Turcs, qui parrainent la rébellion syrienne, et le régime de Damas, soutenu par l’aviation russe, en Syrie. Des soldats turcs ont été pris pour cible, lundi 3 février, par des tirs d’artillerie du régime syrien dans la région d’Idlib, dans le nord-ouest de la Syrie, déclenchant une riposte de l’armée turque.
Le ministère turc de la défense avait dans un premier temps fait état de quatre soldats tués et neuf blessés. Mais ce bilan est passé à six tués après la mort d’un militaire et d’un civil qui ont succombé à leurs blessures.
L’armée turque a ensuite répliqué et « détruit plusieurs cibles ». « Nos avions F-16 et nos pièces d’artillerie sont en ce moment en train de bombarder des cibles définies par nos services de renseignement », a déclaré le président turc, Recep Tayyip Erdogan, lors d’une conférence de presse à Istanbul. D’après lui, « entre 30 et 35 » soldats syriens ont été tués dans ces opérations. L’Observatoire syrien des droits de l’homme a de son côté fait état d’au moins treize soldats tués et vingt autres blessés.
M. Erdogan a également appelé Moscou à ne pas entraver la riposte d’Ankara : « Je veux m’adresser en particulier aux autorités russes, vous n’êtes pas notre interlocuteur, notre interlocuteur est le régime [de Damas]. N’essayez pas de nous empêcher d’agir. »
Le régime de Damas a entrepris ces derniers jours de reconquérir la province d’Idlib, peuplée de 3 millions d’habitants, parmi lesquels de nombreux déplacés du conflit.
La Turquie a déployé des militaires dans 12 postes d’observation de la région, dans le cadre d’un accord conclu avec la Russie visant à faire cesser les violences dans ce dernier bastion dominé par des djihadistes et des rebelles en Syrie. Mais les forces du régime de Bachar Al-Assad, appuyées par Moscou, ont intensifié depuis plusieurs semaines leur offensive dans cette province, multipliant les bombardements meurtriers. Lundi, le président turc a exhorté la Russie à « assumer ses obligations » à Idlib dans le cadre de cet accord.
Selon le quotidien turc en ligne Duvar, six postes sur douze sont actuellement encerclés par les forces syriennes. Le ministère de la défense a précisé que les militaires turcs visés avaient été envoyés à Idlib pour renforcer ces postes d’observation turcs et que leur déploiement avait fait l’objet d’une coordination. Ankara, qui appuie des groupes rebelles syriens, a haussé le ton ces derniers jours, allant jusqu’à critiquer Moscou, avec qui la Turquie coopère pourtant étroitement en Syrie.
Le porte-parole du Parti de la justice et du développement, la formation de M. Erdogan, a ainsi estimé lundi que le régime syrien avait attaqué les soldats turcs car il se sentait « protégé par le parapluie russe ». Le bombardement meurtrier contre les forces turques risque de provoquer une escalade des tensions. Les chocs directs entre l’armée turque et les forces du régime syrien ont été rares depuis le début du conflit qui ravage la Syrie depuis 2011.
En 2016, Ankara avait mis en cause le régime de Damas après la mort de quatre soldats turcs due un bombardement aérien dans la région d’Al-Bab. La Russie avait nié toute implication de ses forces ou de celles du régime.
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