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Yves Bourdillon avec Gabriel Gresillon, Ã Bruxelles
Les négociations sur la Méditerranée orientale entre Athènes et Ankara ont repris pour la première fois depuis 2016.
Les négociations entre la Turquie et la Grèce pour régler leur différend en Méditerranée orientale ont repris lundi à Istanbul – une première depuis 2016. Une délégation de diplomates grecs a été reçue au ministère turc des Affaires étrangères pour des « contacts exploratoires » . « Régler tous les problèmes, y compris ceux en mer Egée, est possible et notre volonté d’y parvenir est entière. La paix et la stabilité régionales sont dans l’intérêt de tous » , a déclaré sur Twitter le porte-parole du président Recep Tayyip Erdogan, Ibrahim Kalin, à l’issue des discussions.
Deux membres de l’OTAN à couteaux tirés
Les deux pays, aux relations peu amènes depuis le détachement de la Grèce de l’empire ottoman il y a exactement deux siècles, se disputent la souveraineté de pans entiers de la Méditerranée orientale, au point d’avoir déjà frôlé la guerre en 1996. La tension a repris de plus bellel’été dernier en raison d’une mission de recherche d’hydrocarbures sous-marins par un navire turc. Athènes lui a reproché d’être entré dans ses eaux territoriales et a dépêché des navires militaires, avec le soutien… de Paris. Washington, en tant que pays clé de l’Alliance atlantique dont la Grèce comme la Turquie sont membres, a appelé à la désescalade. Ankara a finalement accepté en septembre de retirer son navire « Oruç Reis » .
Il est vrai que les règles internationales, qui confèrent une zone économique exclusive dans un rayon de 12 miles nautiques autour de toute île, aboutissent à des situations insupportables aux yeux de la Turquie. Par exemple, l’île grecque de Kastellorizo peut revendiquer une souveraineté sur une telle zone, alors qu’elle ne se trouve qu’à 1 km du rivage turc.
Divergences entre Berlin et Paris à Bruxelles
Il faudra sans doute des années avant de trouver un compromis, au prix d’arrangements juridiques complexes. Aucune avancée majeure n’est attendue lors des pourparlers qui ont repris hier, sous forme de simple prise de contact. Les deux pays n’ont d’ailleurs même pas réussi à se mettre d’accord sur la liste des sujets à aborder. Athènes souhaite discuter uniquement de la délimitation du plateau continental de ses îles en mer Egée. Ankara veut élargir les pourparlers à la définition des zones exclusives économiques et de l’espace aérien des deux pays.
A Bruxelles, les ministres des Affaires étrangères de l’Union européenne, réunis lundi pour faire le tour des grands enjeux diplomatiques, ont dû trouver sur la Turquie un équilibre entre une ligne allemande plaidant la modération et une approche plus ferme incarnée notamment par la France. Devant les récents gestes de bonne volonté d’Ankara, ils ont appelé à poursuivre la feuille de route établie, en décembre, par les chefs d’Etat et de gouvernement. Une feuille de route qui, insiste une source diplomatique, suppose un comportement constructif « dans la durée » de la part de la Turquie. « Le dialogue est essentiel mais nous attendons aussi des gestes crédibles sur le terrain », avait récemment twitté la présidente de la Commission, Ursula von der Leyen.
Après des mois de déclarations agressives, le président turc, Recep Tayyip Erdogan, s’est résolu récemment à proposer à l’Europe de « repartir sur de nouvelles bases » . Il y est sans doute incité par les difficultés économiques de son pays, qui a besoin de capitaux extérieurs, dans un contexte rendu difficile par la pandémie de Covid et le départ de Donald Trump, assez indulgent avec Ankara. Il peut aussi se permettre de faire retomber la pression, au vu de son triomphe géostratégique face à l’Arménie, autre ennemi, dans le Haut-Karabakh.
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