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20 Minutes avec AFP, le 05/01/2018
DIPLOMATIE
C’était la première visite d’importance du chef de l’Etat turc dans un pays de l’Union européenne depuis le putsch raté qui l’a visé en juillet 2016…
Le président français Emmanuel Macron et son homologue turc Recep Tayyip Erdogan le 5 janvier 2018 à l’Elysée. — LUDOVIC MARIN / POOL / AFP
Emmanuel Macron a pour la première fois rencontré ce vendredi à Paris son homologue turc Recep Tayyip Erdogan. L’occasion de mettre à plat un certain nombre de divergences de point de vue.
Concernant l’adhésion à l’UE, Macron propose plutôt un « partenariat »
Emmanuel Macron a ainsi proposé à Recep Tayyip Erdogan un « partenariat » avec l’Union européenne « à défaut d’une adhésion », qu’Ankara est de toute façon « fatiguée » d’attendre. En lançant cette proposition, Macron a dit avoir voulu « sortir de l’hypocrisie » face à son homologue. La Turquie est « fatiguée » d’attendre « dans l’antichambre de l’Europe » depuis « 54 ans », a déclaré Erdogan.
« On ne peut pas en permanence implorer une entrée dans l’UE », a-t-il regretté. En écho, Emmanuel Macron a jugé qu’il était « clair » que les « évolutions récentes » en Turquie dans le domaine des droits de l’Homme excluaient toute « avancée » dans les négociations d’adhésion.
En prenant acte, il a invité à « repenser cette relation non pas dans le cadre du processus d’intégration mais peut-être d’une coopération, d’un partenariat ». Afin, a-t-il ajouté, de « préserver l’ancrage de la Turquie et du peuple turc dans l’Europe et de faire que son avenir se construise en regardant l’Europe et avec l’Europe ».
Je ne pense pas que le processus d’adhésion à l’Union européenne puisse aboutir dans les prochaines années. Mais ma volonté est bien de préserver l’ancrage de la Turquie et du peuple turc dans l’Europe, et de faire plus ensemble. pic.twitter.com/6WKZY9wTRT
— Emmanuel Macron (@EmmanuelMacron) 5 janvier 2018
Sur le respect de l’Etat de droit, Erdogan vante une justice « indépendante »
La courte visite d’Erdogan à Paris était son plus important déplacement dans un pays de l’UE depuis le putsch manqué de 2016 et la répression qui l’a suivi. Plus de 140.000 personnes ont été limogées ou suspendues et plus de 55.000 ont été arrêtées, dont des universitaires, des journalistes et des militants pro-kurdes, accusés de propagande « terroriste » ou de collusion avec les réseaux du prédicateur Fethullah Gülen.
Emmanuel Macron a appelé son invité à « respecter l’Etat de droit » et lui a soumis une liste de cas individuels de personnes turques incarcérées comme Osman Kavala, figure de la société civile d’Istanbul. Mais Recep Tayyip Erdogan a de son côté défendu « l’indépendance » de la justice turque et s’en est pris aux « jardiniers du terrorisme » que sont ces « gens qu’on considère comme des hommes de pensée ou d’idée » mais qui apportent de « l’eau au moulin » des extrémistes.
Macron a critiqué les processus d’Astana et de Sotchi
Les deux dirigeants ont discuté de la Syrie, sur laquelle ils ont des points de convergence et d’autres de divergence, comme les processus d’Astana et de Sotchi menés par la Russie, l’Iran et la Turquie.
Ce n’est ni à Ankara ni à Paris qu’on décidera de l’avenir de la Syrie. Le peuple syrien, y compris ceux qui ont fui le régime, devra lui-même décider de son avenir.
— Emmanuel Macron (@EmmanuelMacron) 5 janvier 2018
Emmanuel Macron critique ces initiatives qui « ne construiront pas la paix car elles sont biaisées sur le plan politique », en n’accordant pas assez de place à l’opposition au régime de Bachar al-Assad.
Augmentation des échanges commerciaux et militaires
Sur le plan bilatéral, Erdogan a souhaité que les échanges commerciaux soient portés à 20 milliards de dollars contre 13,4 milliards actuellement.
Paris et Ankara, tous deux membres de l’Otan, ont signé un contrat d’étude dans la défense aérienne et antimissile impliquant le consortium franco-italien Eurosam. Le contrat, dont le montant n’est pas connu, porte sur l’étude de définition du système de défense aérienne et antimissile longue portée Loramids entre les sociétés turques Aselsan et Roketsan et franco-italienne Eurosam et le gouvernement turc, selon l’Elysée.
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