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Le Figaro, le 30/09/2019
Par Christophe Remise
Champion de Turquie en titre, Galatasaray s’appuiera sur sa large colonie francophone face à Paris, ce mardi, mais aussi sur une ambiance toujours survoltée dans son antre de la Türk Telekom Arena.
L’enfer d’Istanbul. C’est généralement ainsi que l’on présente la mégalopole turque quand il est question de football et d’ambiance dans les stades. Et la réputation n’est pas surfaite… Elle va d’ailleurs bien au-delà d’Istanbul. Demandez aux Bleus, noyés dans le bain turc de Konya le 8 juin dernier (défaite 2-0). Chants incessants, sifflets permanents, ferveur à tous les étages… Les joueurs de Didier Deschamps avaient payé pour voir. «Le public a galvanisé la Turquie mais il n’était pas sur le terrain», corrigeait Didier Deschamps. «Il ne faut pas se trouver d’excuse. Il y avait une très, très grosse ambiance ici, mais on a l’habitude», déclarait pour sa part Benjamin Pavard. Les Parisiens aussi ont l’habitude. Pas spécialement de la Turquie, pas ces dernières années, mais on se souvient qu’ils avaient éteint le volcan du «Marakana» en y écrasant l’Etoile Rouge de Belgrade en décembre 2018 (victoire 4-1). Les conditions seront sans doute assez similaires ce mardi (21h), dans l’antre de Galatasaray, pour leur deuxième sortie en Ligue des champions.
Des têtes bien connues sur le terrain, 52.000 fous furieux dans les tribunes
Sur le terrain, Thiago Silva et compagnie croiseront plusieurs têtes bien connues en France. Jimmy Durmaz, Jean Michaël Seri, Steven Nzonzi et Mario Lemina, tous Français ou passés par la France, ont en effet rejoint Mariano, Sofiane Feghouli et Younes Belhanda cet été chez les champions de Turquie. Pas moins de huit anciens joueurs de Ligue 1 ou Ligue 2, dont un champion du monde (Nzonzi) ! Et il y a aussi un certain Radamel Falcao, débarqué cet été sur les bords du Bosphore en provenance de Monaco. «C’est toujours compliqué de jouer face à Falcao, un numéro 9 avec beaucoup de qualité et d’expérience, note Tuchel. Mais c’est toujours un effort de l’équipe et il n’y a pas de plan spécial contre Falcao, on le connait très bien.»
Günaydın #Galatasaray Ailesi pic.twitter.com/7ktVwH4y3z
— Galatasaray SK (@GalatasaraySK) 29 septembre 2019
Pour le reste, ils seront plus que jamais en terrain hostile face aux 52.000 fous furieux de la Türk Telekom Arena. La dernière fois que Paris a affronté le club le plus francophile de Turquie à Istanbul, c’était il y a 19 ans, à l’époque au Stade Ali-Sami-Yen. Défaite 1-0. «Je me souviens que là -bas l’ambiance est folle, incroyable. On ressent une pression supplémentaire sur le terrain», raconte Éric Rabésandratana, capitaine du PSG ce soir de décembre 2000, pour Le Parisien. «Rabé» et ses comparses n’avait toutefois pas été effrayés par cette atmosphère bouillante : «Je garde un bon souvenir de ce déplacement, même si on a perdu. On joue au foot pour vivre ce genre d’ambiance.» En revanche, personne n’a envie de revoir le pugilat du match retour, en mars 2001, avec les supporters des deux camps qui s’étaient affrontés au Parc des Princes. De l’eau a coulé sous les ponts depuis. Assez pour que les deux «camps» aient passé l’éponge ?
Toujours est-il qu’on retrouve souvent le constat dressé par «Rabé» dans la bouche des joueurs après leur plongée dans le bain turc. «Les sifflets, c’était compliqué. Mais ça donne encore plus envie de se surpasser et d’aller chercher la qualification», expliquait Anthony Lopes après Besiktas-Lyon, au printemps 2017, en Ligue Europa. Une source de motivation supplémentaire en somme ? «Oui, même si on avait déjà de la motivation sans cela… Mais ça donne encore plus l’envie de se mettre le cul par terre», ajoutait-il. D’ailleurs, les ouailles de Fetih Terim, qui restent sur trois nuls d’affilée, dont un le week-end dernier à la maison dans le derby contre Fenerbahçe (0-0), n’ont remporté qu’un de leurs trois matches de poules l’an passé en Champions League, contre le Lokomotiv Moscou (3-0), s’inclinant face à Porto (2-3) et partageant les points contre Schalke 04 (0-0). L’enfer dans les tribunes, pas sur le terrain ? Pas toujours en tout cas…
«Tout le monde nous a dit que l’ambiance est incroyable ici»
Thomas Tuchel
Tuchel promet que la ferveur turque n’influera pas sur ses plans. «Pas pour la préparation, explique-t-il. Mais tout le monde nous a dit que l’ambiance est incroyable ici. C’est le défi de faire un bon match, montrer notre confiance et notre qualité, sous la pression de cette ambiance, dans un stade comme ça, contre un grand adversaire, un grand club comme Galatasaray. C’est le défi, mais ça n’aura pas d’influence sur notre manière de préparer le match. Non, c’est le défi de montrer contre un grand club et dans une atmosphère très difficile. Je pense qu’on en est capable.» Le cas échéant, Paris ferait, déjà , un grand pas vers la qualification après son succès face au Real (3-0) : «Ce sera peut-être plus difficile parce que tout le monde va penser qu’on doit gagner contre Galatasaray parce qu’on a battu le Real. Ce n’est pas comme ça. On doit toujours recommencer, montrer encore la qualité, la faim et la mentalité. C’est nécessaire de jouer avec le même « spirit » que face au Real, Lyon et Bordeaux, d’être prêt pour souffrir, aider, de mettre beaucoup d’effort et d’intensité. Le match contre le Real est terminé.» Celui face à Galatasaray va commencer.
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