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Le Monde – 22/11/2014
La Turquie s’impliquera-t-elle davantage dans la lutte contre l’organisation Etat islamique ? C’est en tout cas avec ce souhait que le vice-président américain, Joe Biden, s’est entretenu samedi 22 novembre avec le président turc, Recep Tayyip Erdogan.
Au terme d’un déjeuner qui a duré près de quatre heures dans un palais de la rive asiatique d’Istanbul, les deux dirigeants se sont contentés, sans répondre à la moindre question, d’une déclaration chacun. Premier à prendre la parole, M. Erdogan s’est réjoui de l’état des relations entre les deux pays, « plus complètes et plus fortes » qu’auparavant, avec « les mêmes valeurs, des intérêts communs et le respect mutuel ». Pour le dirigeant turc, les deux pays ont renouvelé « leur engagement mutuel à assurer notre défense et à notre sécurité en tant qu’alliés de l’Otan ».
Plus précis, M. Biden a indiqué avoir examiné avec son hôte « toute une série de questions et d’options » pour traiter le dossier syrien, parmi lesquelles « le renforcement de l’opposition syrienne et une transition au régime » de Damas, soulignant un « partenariat aussi fort qu’il l’a toujours été ». Malgré ces propos apaisés après des semaines de fortes tension, les stratégies des deux pays semblent toujours aussi éloignées.
DEUX APPROCHES TRÈS ÉLOIGNÉES
Arrivé vendredi soir à Istanbul sur fond de fortes divergences entre Washington et Ankara autour de leurs priorités stratégiques en Syrie, le vice-président américain avait alors dîné ce soir-là avec le premier ministre islamo-conservateur turc Ahmet Davutoglu.
A l’issue de cette rencontre, la Maison Blanche avait souligné l’accord des deux pays sur « la nécessité de frapper et de défaire l’EI, de travailler à une transition en Syrie et de soutenir les forces de sécurité irakiennes et l’opposition syrienne modérée ».
Le vice-président américain Joe Biden et le premier ministre turc Ahmet Davutoglu, le 21 novembre 2014 à Istanbul.
Mais sur le fond, les approches des deux pays restent très éloignées. Contrairement aux Etats-Unis, la Turquie refuse de fournir une quelconque aide militaire aux forces kurdes qui défendent la ville syrienne de Kobané, assiégée depuis plus de deux mois par les combattants djihadistes. Sous pression de ses alliés et des critiques, elle a toutefois autorisé le passage vers Kobané, via son territoire, de 150 combattants peshmergas venus d’Irak.
BACHAR AL-ASSAD, BÊTE NOIRE D’ANKARA
Ankara considère comme largement insuffisants les raids menés par les avions de la coalition internationale emmenée par les Américains, et estime que la menace djihadiste ne sera écartée qu’avec la chute du président syrien, Bachar Al-Assad, sa bête noire. « En Syrie, vous ne pouvez pas apporter la paix en essayant de détruire une organisation terroriste dans une partie du pays, et en laissant dans l’autre le régime de Damas (…) exterminer une partie de sa population », a souligné M. Davutoglu vendredi.
Contrairement aux Turcs, les Américains restent focalisés sur la lutte antidjihadiste. « Nous sommes d’accord avec les Turcs qu’il faudra une transition politique sans Assad au bout du compte », a insisté le responsable américain, « mais pour le moment, notre priorité absolue en Irak et en Syrie reste la défaite de l’EI ».
Le gouvernement turc a en outre posé comme condition à son entrée dans la coalition la création d’une zone-tampon doublée d’une zone d’interdiction aérienne le long de sa frontière avec la Syrie. Jusque-là en vain.
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