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La Tribune, le 08/11/2018
Par Estelle Nguyen
Le bénéfice de la première banque italienne par les actifs s’est effondré au troisième trimestre à 29 millions d’euros, bien en-dessous des attentes, du fait de la dépréciation de sa participation dans la banque turque Yapi. Le contexte géopolitique a également eu un impact sur les résultats.
La chute de la livre turque a eu un rude impact sur les comptes d’UniCredit, la première banque italienne par les actifs. Après un deuxième trimestre solide, la banque milanaise a vu son bénéfice s’effondrer à 29 millions d’euros au troisième trimestre, contre 2,82 milliards un an plus tôt. Un chiffre très en dessous des attentes, les analystes anticipant 907 millions d’euros. L’établissement italien explique que la dévaluation de la devise turque l’a conduit à déprécier sa participation indirecte de 41% dans la banque turque Yapi Kredi (sa valeur a été réduite de 846 millions d’euros).
Comme les autres banques italiennes, UniCredit est également confronté aux difficultés liées au contexte politique, mondial et national. Les tensions persistantes sur la dette souveraine italienne contribuent à dégrader l’écart de taux d’intérêt sur les emprunts d’État à 10 ans allemands et italiens (le « spread »). Le 19 octobre dernier, cet écart avait atteint son plus haut niveau depuis cinq ans et demi, à 340 points. Les banques italiennes sont sensibles au « spread » car elles détiennent des milliards de dette souveraine italienne en portefeuille.
« Le troisième trimestre a été marqué par une incertitude créée par la situation géopolitique et des inquiétudes concernant les perspectives de croissance aux États-Unis et en Europe. De surcroît, le marché en Italie a été particulièrement volatil », a souligné le patron, Jean-Pierre Mustier lors d’une conférence téléphonique, cité par l’AFP.
À la Bourse de Milan, le titre UniCredit plonge de plus de 4% à la mi-journée : il perd plus de 28% depuis le début de l’année. La capitalisation boursière du groupe dépasse les 25 milliards d’euros, proche de celle de la Société Générale.
Objectif de revenus abaissé
Jean-Pierre Mustier a tenu à souligner dans le communiqué que « le bénéfice net opérationnel avait progressé de manière impressionnante de 21,9%, à 1,8 milliard d’euros » et que les résultats des tests de résistance publiés la semaine dernière par l’Agence bancaire européenne avaient montré une « nette amélioration » de la situation du groupe.
La banque italienne a déclaré vouloir accélérer ses réductions de coûts pour compenser la baisse de ses revenus, dans un environnement plus difficile. Son objectif de produit net bancaire pour 2018 a été revu à la baisse, à 19,7 milliards d’euros, contre 20,1 milliards d’euros précédemment, mais celui d’un bénéfice à 4,7 milliards d’euros en 2019 a été confirmé.
Les comptes du troisième trimestre comportent des provisions supplémentaires pour litiges. UniCredit fait l’objet d’une enquête des autorités américaines depuis 2012 sur des soupçons de violation d’embargo contre l’Iran et a mis de côté 741 millions d’euros en prévision d’une éventuelle amende.
Du côté des fonds propres, le ratio de solvabilité CET1, très suivi par les analystes, a reculé à 12,11% à fin septembre, contre 12,51% fin juin, un niveau toutefois élevé. La banque s’attend à un ratio entre 12% et 12,5% en 2019, contre plus de 12,5% prévu jusqu’ici.
Vaste restructuration
Arrivé en à la tête d’UniCredit en 2016, l’ex-banquier de la Société Générale compte sur le vaste plan de restructuration des activités du groupe pour réduire notamment le poids des créances douteuses dans son bilan.
Au début de l’année dernière, la banque a levé 13 milliards d’euros, le plus grand appel de fonds jamais lancé en Italie, afin d’assainir son bilan. Elle avait également cédé sa filiale de courtage en ligne FinecoBank, sa filiale de gestion d’actifs Pioneer Investments (au français Amundi, filiale du Crédit Agricole) et d’autres participations dans des activités européennes. Des économies importantes de coûts avaient pu être réalisées avec des réductions d’effectifs (de près de 14.000 personnes entre 2015 et 2019) et d’agences (790 à ce jour, soit 84% des objectifs d’ici 2019).
À ce jour, quelque 831 agences ont déjà été fermées et 13.100 emplois équivalents temps plein supprimés.
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