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Les Echos, le 08/02/2017
Yves Bourdillon et Michel De Grandi
Le dialogue reprend entre Ankara et Washington, les dossiers de contentieux demeurent
Après la douche écossaise, une reposante séance de bain turc. Donald Trump, qui avait jugé l’OTAN « obsolète » a réaffirmé mercredi l’engagement des Etats-Unis vis à vis de l’Alliance atlantique, lors d’un appel téléphonique à son homologue turc, Recep Tayyip Erdogan et au premier ministre espagnol Mariano Rajoy. Le nouveau président américain a évoqué « l’engagement commun à combattre » les djihadistes et salué en la Turquie un « partenaire stratégique et allié de l’OTAN ».
Ce contact téléphonique marque un tournant dans la relation entre Ankara et Washington, même si personne ne peut dire aujourd’hui ce que sera la politique de Donald Trump à un horizon de six mois. S’ils poursuivent cet objectif commun de lutter contre l’Etat islamique (Daech), Ankara et Washington n’entament pas pour autant un rapprochement, tout au plus « fluidifient-ils leurs relations » précise Didier Billion, directeur adjoint de l’IRIS (Institut des relations internationales et stratégiques). Entre eux, les dossiers de contentieux ne sont pas soldés.Il y a déjà celui de l’extradition du prédicateur turc Fethullah Gülen, exilé aux Etats-Unis. Elle est demandée par la Turquie, qui le désigne comme l’auteur du coup d’état de l’été dernier contre Recep Tayyip Erdogan. L’affaire est pour l’instant dans les mains de la justice turque.
L’autre dossier sensible concerne la Syrie. Même si le dialogue reprend entre les deux membres de l’OTAN, le Pentagone veut continuer à apporter son soutien aux miliciens kurdes des Unités de protection du peuple (YPG). Au grand dam d’Ankara qui accuse l’YPG d’être une émanation du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), considéré comme une organisation terroriste. Le sujet a de fortes chances de demeurer une pomme de discorde entre les deux partenaires. « Les Turcs surestiment leur capacité à influencer la politique américaine » poursuit le chercheur ,qui se dit très prudent sur la politique que va mener Donald Trump dans la région.
Le directeur de la CIA, Mike Pompeo, doit se rendre en Turquie ce jeudi pour évoquer les sujets sensibles.Au-delà de leurs divergences, les deux partenaires peuvent néanmoins trouver un terrain d’entente, aujourd’hui, pour lutter plus efficacement contre l’Etat Islamique. Ce qui n’était pas envisageable il y a encore trois ans. Lors de l’entretien téléphonique, les deux présidents, turc et américain se sont « mis d’accord pour agir ensemble à Raqa et Al-Bab », selon une source à la présidence turque. La Turquie a affirmé mercredi que les rebelles syriens, qu’elle soutient, avaient progressé face à l’Etat islamique dans son bastion d’Al-Bab, non loin de la ville d’Alep. Al Bab serait désormais encerclé par des forces rebelles mais aussi russo-syriennes. Ankara a aussi évoqué un possible engagement de ses forces spéciales pour reprendre la « capitale » djihadiste en Syrie, Raqa.
Signe que la destruction de djihadistes figure aussi parmi ses principales priorités, la Maison Blanche a ordonné récemment deux opérations militaires inédites au Proche Orient. Un commando américain déployé au sol a frappé le 29 janvier une branche d’Al Qaïda au Yémen. Si l’opération, programmée sous Obama, a réussi à éliminer des dizaines de djihadistes elle n’a pas réussi à éliminer le numéro trois d’Al Qaïda dans la péninsule arabique, Qasim al-Raymi, et s’est soldé par la perte d’un soldat américain et la mort de 23 civils. Le gouvernement yéménite a d’ailleurs mercredi demandé à Washington d’attendre son feu vert pour d’autres opérations au sol. Parallèlement, la coalition arabo-kurde des Forces démocratiques syriennes (FDS), qui lutte contre Daech en Syrie a affirmé il y a dix jours avoir été fournie en chars de combat américains. Jusqu’ici des forces spéciales américaines combattaient au sol à leur côté, associés à des homologues français, mais sans blindés. Ces livraisons d’équipements ont été décidées sous l’administration Obama mais ont dû être validées par Donald Trump. Les FDS ont lancé début novembre une offensive contre Raqa mais font du surplace depuis lors.
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