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Le Monde – 07/10/2014
Les combats entre les forces militaires kurdes et les djihadistes de l’Etat islamique (EI) se sont étendus à l’ouest et au sud de la ville de Kobané, mardi 7 octobre. Pendant que les soldats de l’EI avancaient dans les ruelles, la coalition menée par les Etats-Unis a mené de nouvelles frappes aériennes pour tenter de les ralentir, selon l’AFP.
Trois quartiers de l’est de la ville syrienne, frontalière de la Turquie, sont déjà sous le contrôle des djihadistes, selon l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH). « Il y a eu des combats pendant la nuit, pas extrêmement violents mais les combattants de l’EIIL avancent à partir du sud-ouest. Ils sont entrés dans Kobané et ont pris le contrôle de plusieurs bâtiments », a expliqué l’ONG en se basant sur des témoignages d’informateurs sur place.
Si la troisième ville kurde de Syrie, assiégée depuis plusieurs jours, tombait au mains de l’EI, il s’agirait d’une victoire considérable pour les djihadistes. Lundi, armés de tanks et d’artillerie lourde, ils avaient commencé à attaquer les forces kurdes à l’entrée de la ville, multipliant les infiltrations dans les ruelles. Le drapeau noir de l’EI avait été vu flottant au-dessus d’un bâtiment de la partie est de la ville. L’OSDH a parlé de « guérilla urbaine », précisant que le centre-ville était toujours sous contrôle kurde en début de matinée.
« LES FRAPPES AÉRIENNES SEULES NE SONT VRAIMENT PAS SUFFISANTES »
Sur Twitter, une journaliste de la télévision émirienne Al Aan TV, Jenan Moussa, a affirmé que l’EI avait pénétré dans Kobané, mettant « tout le monde en danger ». Selon les combattants kurdes des YPG, il y aurait toujours plusieurs milliers de civils à l’intérieur de la ville.
Après plusieurs jours de combats, près de à 90 % des habitants ont fui la ville frontalière. L’offensive de l’EI dans cette région a fait, selon l’OSDH, des centaines de morts dans les deux camps depuis le 16 septembre et poussé à la fuite quelque 300 000 habitants, dont 180 000 ont trouvé refuge en Turquie.
Si aucune force n’est entrée dans la ville pour soutenir les combattants kurdes des unités de protection du peuple, affiliées au Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), l’OSDH a estimé que les bombardements aériens de la coalition dirigée par les Etats-Unis, qui ont continué dans la nuit de lundi à mardi, ont entravé « la progression du groupe ».
Des djihadistes de l’Etat islamique plantent leur drapeau à proximité de Kobané, le 6 septembre 2014.
Les Kurdes, à l’instar d’Idris Nassan, porte-parole des YPG, ont regretté, au contraire, le manque d’impact des frappes sur la progression de l’EI dans la ville.
« Les frappes aériennes seules ne sont vraiment pas suffisantes pour battre l’EI à Kobané. Nous avons besoin d’un soutien au sol, d’armes lourdes et de munitions afin de le repousser et de le vaincre. Nous appelons la communauté internationale à venir nous aider à défendre Kobané. »
Des arguments repris aux Etats-Unis, notamment par le sénateur républicain de Caroline du Sud Lindsey Graham et d’autres faucons, partisans d’une intervention au sol, escalade que le président des Etats-Unis, Barack Obama, continue de rejeter.
L’armée turque a également déployé au moins 14 tanks de son côté de la frontière. Mais il s’agit avant tout d’une posture défensive. La zone frontalière où ont lieu les combats a été évacuée, les journalistes ayant été chassés par des gaz lacrymogènes. L’armée a aussi procédé à l’évacuation de deux villages frontaliers. Il y a cependant peu de chances qu’Ankara aide les combattants kurdes affiliés au PKK, une organisation considérée comme terroriste par le pouvoir turc.
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