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Le Point le 18/10/2017
La chancelière allemande veut couper court aux négociations d’adhésion de la Turquie. Mais les Européens oseront-ils être à l’origine de la rupture ?
PARÂ EMMANUEL BERRETTA
À la demande de l’Allemagne, les négociations d’adhésion de la Turquie seront évoquées lors du dîner du Conseil européen, jeudi soir à Bruxelles. © Alexandros Michailidis / SOOC/
Le très long feuilleton diplomatique de l’adhésion ou non de la Turquie sera au centre des discussions, jeudi soir, lors du dîner du Conseil européen à Bruxelles. Un point de l’ordre du jour réclamé par l’Allemagne. En effet, le 3 septembre, lors du débat précédant les élections législatives, Angela Merkel s’était dite favorable à un arrêt des négociations d’adhésion avec la Turquie, en raison des dérives antidémocratiques du régime. «  Il est clair que la Turquie ne doit pas devenir membre de l’Union européenne  », avait-elle affirmé, tout en relevant que «  les négociations d’adhésion de la Turquie à l’UE sont pour l’instant inexistantes  ». En vérité, ce n’est pas véritablement l’enjeu. Il est inimaginable que le régime turc actuel puisse adhérer à l’Union européenne. La question est plutôt de savoir qui de la Turquie ou de l’Union européenne «  fermerait la porte le premier  », comme l’avait relevé très justement la chancelière.
La position actuelle des Européens consiste précisément à éviter d’être à l’origine de la rupture des négociations. «  Notre fermeture serait aussitôt exploitée par les nationalistes turcs, et Erdogan au premier chef, au détriment des Turcs qui, de bonne foi, s’appuie sur cette perspective pour tenter de moderniser le pays. Si on laisse Erdogan décréter la fin de la procédure d’adhésion, il y aura des contestations en interne et il y aura un débat en Turquie  », explique un diplomate européen. Et puis l’Europe n’aura pas sur le cÅ“ur l’abandon des démocrates turcs…
Facture élevée
Jusqu’ici, les Européens ont tenu sur cette position toute en retenue. L’Autriche est, à ce jour, le seul pays qui n’était pas dans cette ligne. Surtout depuis le référendum turc d’avril 2017 par lequel le président Erdogan a renforcé ses pouvoirs à la suite d’une campagne électorale que les observateurs européens ont jugé inéquitable. «  Après le référendum turc, nous ne pouvons pas simplement revenir aux affaires courantes. Il faut faire preuve de franchise s’agissant des relations Turquie-UE », avait tweeté Sebastian Kurz, à l’époque chef de la diplomatie autrichienne et qui est pressenti pour devenir le chancelier autrichien après la victoire de son parti aux législatives anticipées du 15 octobre.
Merkel va-t-elle camper, jeudi soir, sur sa position et entraîner à sa suite d’autres pays européens ? Pour l’instant, la France a adopté une ligne classique : laissez Erdogan assumer la rupture. Mais la question financière se pose trivialement. L’Union européenne consacre des fonds européens à la procédure de pré-adhésion de la Turquie (6,7 milliards d’euros entre 2007 et 2017, et un prévisionnel de 1,9 milliard entre 2018 et 2020). La Turquie bénéficie aussi des prêts de la BEI (Banque européenne d’investissement) à hauteur de 2,3 milliards en 2015 ou de la Berd (Banque européenne pour la reconstruction et le développement).
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